En vrac’ musical du mercredi.

Un en vrac’ musical assez copieux – pour une fois – en ce mercredi.

C’est tout pour ce mercredi, et c’est déjà pas si mal !

C’est mercredi, c’est musique.

Un minuscule billet musical, étant dans les écrits plus ou moins techniques jusqu’au cou. Joie 🙁

Voila, c’est tout. Je me replonge dans la préparation du tutoriel de novembre 2015 pour Archlinux, et dans d’autres billets qui sont encore au format brouillon et qui demande à être retravaillé 🙂

Un petit peu de culture en ce mardi :)

Un billet culturel très court, qui va parler d’un livre et d’un album de musique. En ce moment, j’en ai un peu ma claque des billets techniques, et varier les plaisirs, ça ne fait jamais de mal 😉

Commençons par le livre, un classique de la science fiction nord-américaine, j’ai nommé « Martiens, Go Home ! » de Fredrik Brown (1906-1972)

Martiens-Go-HomeDans ce roman de SF parodique, sorti en 1954, l’histoire commence avec les mésaventures de Luke Deveraux, auteur de romans SF dont le manque d’inspiration se noie dans les verres d’alcools. Alors qu’il attaque son énième verre de la soirée, on frappe à la porte de la cabane qu’un ami lui a prété. Un être à la peau verte, chauve, imberbe, se présente. C’est un martien. Comme les autres membres de son espèce, il se déplace par la volonté, en « couimant ». Il est malpoli, insupportable, curieux comme pas deux, et à deux facultés qui rende la vie humaine impossible : sa vision à rayons X, et son invulnérabilité à toute forme d’attaques physiques.

Autant dire que c’est le casse-bijoux de famille ultra haut de gamme. Je vous conseille fortement le chapitre avec l’arrivée des martiens chez les militaires, c’est du pur sucre.

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KesakoO, le retour avec « Merysland ».

Comme je l’avais déjà précisé dans un précédent article, Michaël Krez alias KesakoO sort son deuxième opus aujourd’hui.

Il s’appelle Merysland. Publié sous licence libre CC-BY-NC-SA, c’est un petit album d’une trentaine de minutes environ. Il est disponible sur Bandcamp selon le principe du « Donnez ce que vous voulez ».

C’est un album qui mélange le jazz, le trip-hop, et parfois le rap. Les pistes de différentes influences se mélangent à la perfection.

La première piste est très jazzy avec une légère pointe de trip-hop. Le côté trip-hop augmente dans les deux pistes où est invité Screenatorium, à savoir « Cameo » et « Discovery », les deuxième et quatrième pistes. Ca fait un peu penser à Portishead rajoutant les sonorités chaudes du jazz.

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« A Love Supreme », mon album préféré de Jazz.

J’adore de nombreux styles musicaux, et j’avoue que quand on parle Jazz, le premier nom qui me vient à l’esprit, c’est John Coltrane, saxophoniste de génie.

La première fois que j’ai entendu l’album « A Love Supreme » (1964), ça a été la claque. Même si l’oeuvre est assez courte, à peine plus de 33 minutes, j’ai eu le plaisir de déguster l’oeuvre en vynil avant de l’avoir en CD audio.

Chaque fois que je l’écoute, je suis emporté par la première partie, « Acknowledgement » qui surprend par son introduction si spéciale, qui me fait penser sur le plan non-conventionnel à l’introduction de la piste éponyme du cinquième album des Pink Floyd, « Atom Heart Mother ».

Comment ne pas se laisser emporter par une telle mélodie et une telle rythmique. Je dois remercier Greg qui a parlé d’un autre album que j’aime beaucoup, « Kind Of Blue » du maître de la trompettes, Miles Davis.

Je vous laisse, je vais me mettre l’album vynil sur ma platine pour me détendre 🙂