PearOS 1.5 « Cheetah » : une dérivée d’Ubuntu pour rugir de plaisir ?

Derrière le clin d’oeil du titre à une marque de barre aux céréales chocolatée, PearOS 1.5 « Cheetah » (non, pas le chimpanzé qui accompagne Tarzan), mais le guépard, se cache une distribution francophone uniquement en 64 bits dont j’ai parlé de la version 1.0 il y a quelques jours.

Quoique Cheetah me rappelle quelque chose au niveau de ma « faible » culture informatique…

La sortie de la version 1.5 m’a donné envie de voir si son inspiration fauvesque est aussi prononcée que le fait penser le jeu de mot.

Pour la personne observatrice, l’icone qui gère les différents espace de travail contient une miniature d’une image bien connue… Mais dire laquelle, j’ai un énorme doute 🙂

Une icone de gestionnaire d'espace de travail assez "connue"

Mais le mieux, c’est d’avoir l’OS en question en action, pour savoir si l’on doit ou pas rugir de plaisir…

Dans cette petite vidéo, on a droit au démarrage, à quelques actions de base (recherche de programmes), navigation, quelques outils systèmes, bref, un aperçu d’ensemble de la distribution.

Les icones me font penser à une période de ma vie, quand j’avais une machine à base de processeur PowerPC… Qui a dit que j’ai l’esprit tordu ? Hein ? Qui ?

Maintenant, à vous de voir si le rugissement se justifie ou pas 😉

La « dure » vie de l’utilisateur d’Archlinux… :D

Utiliser Archlinux, c’est pas tous les jours joyeux… Surtout quand le gestionnaire de paquets, Pacman se met à jour pour une nouvelle version.

Grand adepte de yaourt, celui-ci est devenu inutilisable depuis l’arrivée sur le dépot [testing] d’une version 3.5 de Pacman.

J’ai durant quelques jours utiliser la récupération manuelle des paquets sur AUR, ne serait-ce que pour maintenir à jour certains logiciels que j’utilise et /ou maintiens : kvm-git, gimagereader, ou encore gwibber-bzr.

Mais cela devient vite rigide à l’emploi. En attendant que yaourt soit disponible dans une nouvelle version stable, je me suis tourné vers « la concurrence », et mon choix s’est arrêté sur Packer.

Les options sont à peu de chose près que celle de yaourt, donc la transition est facilitée. Par exemple, une mise à jour complète du système :

packer -Syu

Qui donne ceci (je fais grace des lignes correspondant aux rafraichissement des dépots :


:: Début de la mise à jour complète du système...
il n'y a rien à faire
:: Synchronizing aur database...
aur 15 15 [######################] 100%
:: Starting full aur upgrade...
local database is up to date

Ce qui est agréable. Donc, et en attendant que yaourt soit disponible, j’utiliserais Packer.

Comme quoi, devoir utiliser Archlinux, cela incite à la débrouillardise, et non à l’empatement comme avec certaines distributions pré-mâchant le travail au maximum pour les utilisateurs… Ce qui n’est pas un mal dans l’absolu, surtout pour faire découvrir une informatique différente 😀

Quand Frugal’hamon me poursuit…

Parlons de libre de manière humoristique 🙂

Comme les images ISO de la Frugalware Linux 1.4 commencent à se répliquer sur les miroirs, j’ai voulu essayer, avec ma version de développement de qemu-kvm de voir si je pouvais aller au terme d’une installation en mode graphique.

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Je hais l’informatique, je hais les PCs, je hais Microsoft Windows et c’est ma joie. :)

Note : Ce qui suit est basé sur mon expérience avec Microsoft Windows 3.1, 95, 98/98Se, 2000, XP, et un peu de Windows Vista et 7, le tout depuis environ 15 ans.

Parfois s’y connaitre en informatique, c’est devenir, pour ses relations « proches », une personne qui saura débloquer un ordinateur plus ou moins neuf, et ce dernier toujours équipé par Microsoft Windows.

D’ailleurs, j’ai remarqué que nombre de personnes ne s’aperçoivent alors qu’elle ne vous connaissent qu’à ce moment précis. Mais ne soyons pas mauvaise langue.

D’ailleurs, il faut noter qu’avec Microsoft Windows, on atteint parfois un degré certain de comportement typiquement aléatoire qui font douter de la logique même de l’informatique. Il est vrai qu’au niveau du processeur, il n’y a que deux possibilités : soit le courant passe, soit il ne passe pas. Mais à force de rajouter des couches logicielles, tels un mille-feuilles, on finit par devoir se dire que le peu de connaissances chèrement acquises sont en réalité… caduques. 🙂

Malgré ses adorateurs qui sont parfois des curiosités sur certains plans humains, Microsoft Windows est presque toujours une horreur à maintenir en vie. Outre son degré de tendance suicidaire – et sur ce point, l’horrible Windows Millenium aura été utile – compensé par la restauration système (quand elle sert à quelque chose), il faut lui ajouter divers outils pour que le système fonctionne à peu près correctement : anti-espiogiciel (souvent couplé avec l’antivirus qui fait aussi pare-feu), un vrai défragmenteur, car même le système de fichier NTFS fragmente (moins que les fat, mais par moment, c’est pas triste), un outil pour compléter le travail du nettoyeur de disque, un navigateur internet qui comprend vraiment les dernières normes sur le plan des pages web, etc…

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Qui sème le vent…

Qu’est-ce qui n’a pas été dit sur l’équipe de France de Foutch’boll et de sa superbe prestation lors de la coupe du monde de 2010 ?

Allez, une petite dernière pour la route que n’aurait pas déplu à Fernandel… Oreilles chastes, veuillez donc faire un tour…

Et allez, la version d’origine… Qui est tout aussi bonne…