En vrac’ de fin de semaine…

Petit en vrac’ en ce jour qui empeste le poisson 🙂

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

Cosmic Ground vient de sortir un nouvel album intitulé « Entropy ». Si vous aimez le kraut rock et la musique électronique, cet album est peut-être pour vous.

Sur ce, bon week-end !

6 réflexions sur « En vrac’ de fin de semaine… »

  1. Bonjour, alors on va la voir cette installation de MidnightBSD ?, même si tu n’en parles pas sur le blog je veux bien voir sur ton espace peertube.
    OpenMandriva je ne sais pas mais j’ai voulu revenir aux sources en essayant Mageia et elle n’a même pas voulu démarrer en Live.
    A pluche.

    1. Salut
      Curieux, moi sous virtualbox la Mageia a bien démarrer en mode live, par contre trop lourde avec ce plasma qui devient vraiment trop balaise pour mon PC de 16 ans pourtant avec une bonne carte graphique et 8 Go de ram.
      Bonne journée

    2. MidnightBSD ? Je préfère largement FreeBSD ou GhostBSD qui ont des notes de publication moins « dures ». De plus, vu la liste des changements qui semble être assez cryptique, ça ne donne vraiment pas envie.

    3. @Anatole M : en tout cas je te conseille (très fortement) de ne pas réessayer d’installer MageIA en dure et de la tester en virtuel un long moment. Ou encore, sur une partition dont tu ne te sers pas mais sans importer tous tes documents. Il y a bp de fans de MageIA mais me concernant, je trouve que c’est Mr Freeze, la championne des écrans gelés (à l’install, après l’install). Distro de création française (en partie) et avec une gouvernance communautaire, j’ai surtout l’impression que mageIA est aimée grâce à ces deux points. Cela a peut être évolué récemment mais pour plein de raisons mieux vaut tester avant… Quant à KDE / Plasma, si le bureau est assez lourd comparé à d’autres, il l’est particulièrement avec MageIA (pour des raisons que je n’ai pas pris le temps de comprendre).

      Bref, je trouve qu’il y a un fort décalage entre la réput de MageIA (high level à en croire beaucoup de fans) et la réalité des faits. Ceci dit la stabilité et la fonctionnalité sont des critères importants me concernant, apparemment ce n’est pas le cas pour tous et tous les goûts sont dans la nature (etc.) …

      1. La réputation de Mageia (pas de majuscules aux deux dernières lettres), ce sont surtout les anciens fans de feues Mandrake et Mandriva qui la portent au pinnacle, vu que c’est l’une des deux héritières de cette famille de distributions (avec OpenMandriva). Une distro pour nostalgeeks, en somme. Mais plus forcément la plus à conseiller à des nouveaux linuxiens et des gens voulant un OS prêt à l’emploi (Mint, voire Emmabuntüs remplissent mieux ce rôle depuis maintenant une dizaine d’années).

        1. Pourtant j’ai une session arch, distro pas évidente si on explore AUR mais sinon, prête à l’usage une fois installée. Mageia (je fais attention alors aux minuscules) c’est plus « pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué » (en cela elle est très française…) Arch a ses avantages dont l’extrême adaptabilité, la légèreté, la faible consommation de ressources.
          Je n’ai pas perçu les avantages de Mageia (mais certes, j’ai vite décroché)
          Je ne connais pas non plus de personnes qui l’ont utilisé comme distro principale plus de deux mois (6 semaines de mémoire pour être précis).

          Derrière cette critique, j’incite juste à la prudence, par rapport à la question d’un linuxien, par rapport à certains articles sur le net, ou les commentaires sur distrowatch.
          Mais rien ne vaut les tests en VM ou sur une partition dédiée…

          OpenMandriva : la version rock est stable et accessible. ROME, je n’ai pas essayé. Je n’irai pas dessus car sa politique est trop opaque (sécurité, devenir…).

          J’ai commencé par Mandrake et Mandriva et honnêtement elle était plus simple et stable que Mageia. Je ne suis pas fan de la complexité pour la complexité. Si c’est complexe il faut des avantages derrière, je ne perçois pas ceux de Mageia (mais je ne demande qu’à apprendre ou être contredit).

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