Vieux geek, épisode 332 : Les aventures de Pepito au Mexique, quel étrange sponsor :)

J’ai déjà eu l’occasion de parler de jeux sponsorisés par une marque, le premier exemple me venant à l’esprit étant « Chex Quest », un doom-like pour enfants basé sur une marque de céréales, dont j’ai parlé en juillet 2016.

Cependant, ce n’était pas le premier jeu à être supporté par une marque. En 1991, la marque Belin (filière de LU si je ne me trompe pas !) proposa en partenariat avec Microïds un jeu de plateforme mettant en avant la célèbre marque de biscuit chocolaté, Pepito.

On est face à un jeu de plateformes, avec ses sauts millimétrés, ses ennemis plus casse-bonbon les uns que les autres.

L’histoire est simple : des bandits ont dérobé un coffre remplis à ras-bord de boites du célèbre biscuit. À vous de les retrouver et de mettre la main sur le précieux trésor. Constitué d’une bonne vingtaine d’écrans, il y aura de quoi s’arracher les cheveux sur certains passages. Je me demande combien de joysticks ont fait des vols planés, mais je pense qu’avec la difficulté parfois poussée du jeu, le nombre doit être impressionnant.

Le jeu est récupérable sur une page du site CPC-Power. Mais le mieux est de montrer le jeu en action.

Comment conclure l’article ? Je pense que si je l’avais eu à l’époque, la disquette aurait finie par être reformatée, histoire de me venger d’une telle purge. On était en fin de vie commerciale de l’Amstrad CPC, les jeux se faisant de plus en plus rares, ce jeu était le bienvenu au final.

6 réflexions sur « Vieux geek, épisode 332 : Les aventures de Pepito au Mexique, quel étrange sponsor :) »

  1. Astuce pour les prochaines fois : double-clique sur les noms des fichiers dans les boîtes de dialogue Ouvrir/Enregistrer. Ça t’évitera d’aller chercher un bouton situé à perpette pour valider.

    Pas si évident que ça, ce jeu. Mais les enfants de l’époque étaient bien plus patients et auraient mis le temps qu’il fallait pour essayer d’atteindre la fin. Ceux d’aujourd’hui, c’est sûr que ce serait moins garanti : déjà qu’ils seraient paumés en voyant qu’on ne peut pas utiliser la souris car ça n’existait pas sur les CPC… Le « ragequit » ne serait pas loin.

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