Puisque la décennie 2010 va tirer sa révérence, j’ai décidé de la terminer avec un petit billet geekesque. Comme je l’ai déjà précisé, je fais partie de l’équipe d’EndeavourOS, petit projet utilisant Archlinux comme base. Ce n’est pas un projet qui révolutionnera l’informatique libre ni qui lui permettra – c’est idéologiquement impossible comme je l’ai déjà exprimé à longueur de billets au fil des années passées – de se faire une place non négligeable auprès de monsieur et madame tout le monde.
Le 28 décembre 2019, j’ai enregistré cette petite vidéo – qui dure plus de 30 minutes – pour montrer comment personnaliser un environnement Mate-Desktop. Ce n’est pas une vidéo d’un haut niveau technique – je laisse cela aux plus gros youtubeurs linuxiens francophones – mais au moins, cela sera toujours une base pour faire mumuse avec un environnement bureautique basé sur du GNU/Linux.
Je prépare deux billets qui seront consacrés aux tops et aux flops des années 2010 à 2019. Autant dire que côté flops, ça va être gratiné pour le monde du libre… Pensez-donc à une certaine poire, mais je ne vous en dit pas plus pour le moment !
Bonne fêtes et le meilleur pour 2020.
PS : j’oubliais une petite ambiance musicale… Corrigeons cela 🙂
Une décennie commençant à l’année 1, il reste un an pour écrire ce billet 😉
Sauf que de 2010 à 2019, cela fait pile une décennie 🙂
Non, de 2010 à 2019, cela fait 8 ans :
1 an est passé au début de 2011 donc huit ans est passé au début de 2019 (donc ou pourrait effectivement dire 9 ans fin 2019), donc la décennie depuis 2010 se termine l’année prochaine au nouvel an ! 😁
Sinon sans être dans le débat de chaque nouvel an, je souhaite qu’une chose :
Bonne année !! Et meilleurs vœux 😉
Ah Putain de toi comme disait Georges 😉
C’est ben vrai que le niveau baisse boudiou comme disait la mère Denis !
Je rappelle donc aux matheux et ingés de tous poils qu’une décennie égale dix ans, pas un écart arithmétique mais dix ans en vrai NDD ! Comme un siècle dure cent ans, des vrais ans !
Donc je vous conseille de retourner à l’école primaire revoir la question des intervalles sous la forme la plus simple (on peut faire un dessin !) combien de poteaux planter pour mettre un grillage de 30 m de long avec des intervalles de 3m ?
Je rappelle également aux informaticiens linuxiens qu’il n’y a ni siècle zéro ni an zéro car la mesure du temps n’est pas numéroté grub2.
En conséquence de quoi le 21ème siècle commence en 2001 (et pas en 2000) et se termine en 2100 (à la fin de l’année), car le premier siècle commence en 1 et pas en 0 (qui n’existe pas) et se termine donc à la fin de l’année 100. Après on incrémente de 100… programme de CE1 !
Ce qui implique que la première décennie du 21ème siècle commence en 2001. Alors là attention ça va être un peu compliqué : 2001 + 10 = 2011. C’est bon ? Donc la deuxième décennie commence le premier janvier 2011.
2011 + 10 = 2021
La deuxième décennie du 21 ème siècle commence donc en 2021. Ça va toujours ?
Si ç’est trop compliqué, ben ça m’étonne moins qu’on soit dans la merde…
Maintenant celui qui dit, on s’en fout c’est pareil ou au siècle 1 j’étais pas né, je le frappe tout simplement.
Allez bonne années les neuneus 😉
Le calendrier de MATLAB commence le 0 janvier 0 et les astronomes utilisent l’an zero.
Bonne année et décennie à Fred et à tous.
Le passage à l’an 2000 remonte déjà à 20 ans çà fout le blues de voir à quelle vitesse le temps passe !
Bon réveillon à tout le monde, profitez bien de vos instants de bonheur en famille ou avec des proches et on se retrouve pour la prochaine décennie avec, en introduction, une tourte fourrée au foie gras(tops 10 ans)/maroilles(flops 10 ans) servie par Tonton 🙂
Souvenir nostalgique du fameux bug de l’an 2000.
Pour réconcilier les esprits pointilleux (et j’en fais partie, c’est dire !) : certes, il reste encore un an pour boucler la deuxième décennie du XXIe siècle (celui-ci ayant commencé en 2001, elle couvre donc la période 2011-2020). Il n’en est pas moins vrai que nous venons de terminer ce qu’on appelle « les années 2010 » (qui comprennent donc bien les années 2010 à 2019).
Enfin, tout ça, c’est si on se base sur le calendrier grégorien… Si on partait de la fondation de Rome (supposée avoir eu lieu en – 753), ça nous met déjà en 2773 (pour simplifier, on va dire que l’année commence aussi le 1er janvier dans ce calendrier ; bienvenue au XXVIIIe siècle, au passage !). Et je ne parle pas des calendriers juif, musulman, hindou, bouddhiste… ou républicain (là, on est en 228).
Je vous souhaite néanmoins une aussi bonne année que possible.
Tout ceci n’a absolument aucune importance. Lorsque Fred nous parle de la décennie, on comprend très bien ce qu’il désigne. Le reste ce n’est que jouer sur les mots, faire son intéressant en étalant ses connaissances. S’opposer pour s’opposer, montrer sa supériorité intellectuelle.
Pour en remettre une couche j’ajoute qu’il n’y a absolument aucune raison pour laquelle on ne pourrait pas parler des années 2010-2019 comme d’une décennie, et l’absence d’année 0 n’est certainement pas une raison valable pour interdire cela.
J’aurais dû dire les dix années écoulées depuis le 31 décembre 2009 à 23 h 59 minutes et 59 secondes.
Faut juste que je me mette sur les deux article promis 😀
Salut Fred et tous mes vœux bordelais pour 2020 !
Comme mon Archbang va me demander un peu trop de mon temps pour exploiter au mieux mon GPU (j’ai retrouvé mon âme de joueur !), je tenterai bien une install en dur d’Endeavour OS, histoire de voir si le Nvidia-installer fait aussi bien que celui d’Ubuntu/Zorin OS 😉
Merci Fred, j’ai pu tester la distribution. Je me retrouve avec un EndeavourOS LXQT fonctionnel (pas comme Manjaro LXQT), à jour (pas comme Lubuntu), et légère (pas comme ArcoLinux minimal LXQT). Par défaut, LXQT n’est pas très « customisable », mais pour se faire cela nécessite quelques paquets supplémentaires. C’est un environnement de bureau encore trop mis de côté.
Comment je fais à virer « Welcome » au démarrage d’EndeavourOS? Et pourquoi les boutons réduire-agrandir-fermer n’apparaissent pas sur Pamac avec LXQT?
Et j’ai une suggestion.
Étant donné que je vis en Asie, j’ai été confronté à installer IBus pour que mes collègues puissent taper en leur langue. En m’imaginant en un utilisateur lambda, quel merdier ce IBus! Surtout qu’IBus ne se paramètre pas de la même manière suivant l’environnement de bureau… Sur Linux Mint, tout est automatisé: pas besoin de modifier .bashrc ou de créer le fichier .xprofile. Mais pourquoi pas faire de même en rajoutant cette option directement sur l’installateur de la distribution? Cela permettrait à Linux d’être plus accessible sur la marché asiatique, qui est tout sauf petit!
Bonjour.
LXQt n’est pas encore un environnement terminé. Sa version 1.0 n’est pas encore sortie.
Pour virer welcome ?
sudo pacman -Rcs welcome
Pour pamac, il faut rajouter le paquet kde-integration qui va bien avec.
Pour Ibus, je dois dire que je ne l’ai jamais utilisé. Le mieux est de rapporter directement la demande sur le forum d’EndeavourOS.
Merci beaucoup pour tes réponses.
Bonne année 2020!
bonjour Fred,
le paquet mate-menu à un problème de dépendance quand je veux l’installer. Une erreur avec ce paquet python-setproctitle-1.1.10-5.
Cordialement et bonne année
Faut voir au niveau du miroir utilisé. Un
sudo pacman -Syy
devrait aider.