« Coup » de « The New Regime »… Où comment l’ultime batteur de NiN montre son talent.

En 2009, l’ultime batteur du groupe Nine Inch Nails a – à l’image de Trent « Nine Inch Nails » Reznor – produit un album pour son groupe, « The New Regime« . Son nom « Coup« , avec un morceau de la célèbre toile de David, « La mort de Marat ».

Durant un temps (jusqu’en janvier 2010), on pouvait télécharger gratuitement l’album. Depuis, on peut acheter l’album en version simple (7$) ou en version luxueuse (45$).

Bien qu’ayant télécharger l’album à l’époque de sa gratuité, j’ai voulu l’avoir sous forme « réelle ». Je suis donc allé le magasin en ligne proposant la vente du disque.

Achat : le 2 mai.
Envoyé : le 4 mai.
Reçu : le 12 mai.

Quelques photos – plus ou moins floue, mon APN commence à se faire vraiment vieux – du paquet et de l’album.

Vivement le deuxième opus d’Ilan Rubin 😉

Non, faut vraiment que j’arrête :D

Faisant mes courses ce matin à l’hypermarché de Biganos, j’ai vu au rayon musique des albums en solde… Et pour 11 €, j’ai pu avoir deux albums, dont un que j’ai acheté par pure curiosité 😉

Le premier : c’est l’album des « inédits » de Jeff Buckley, artiste disparu en pleine gloire. Dans cet album, on a droit à ses grands titres, souvent dans des versions alternatives et néanmoins intéressantes 😉

J’ai bien aimé la version limite « hard-rock » de « Eternal Life ». J’ai aussi découvert des bijoux de cet artiste. La version alternative de « Dream Brother » vaut largement celle de l’album « Grace ».

La version acoustique de « So Real » vous fait passer des frissons. Et la version « Live at Sin-E » donne envie d’acheter l’album live en question.

Le morceau le plus inattendu, c’est de l’entendre chanter en français, dans le titre « Je n’en connais pas la fin ».

Le deuxième album, c’est le seul album live de la formation historique de Genesis, simplement intitulé « Live ».

Thierry, peintre et grand fan de musique devant l’éternel (il m’a fait découvrir les Pink Floyd, Deep Purple ou encore Barclay James Harvest) est un fan de Genesis.

Désirant découvrir la période « Peter Gabriel » du groupe, j’ai sauté sur l’occasion quand j’ai vu l’album à petit prix.

Bon, c’est du rock progressif. Soit on aime, soit on déteste. Mais ayant commencé avec BJH et le trio d’album progressif (« The Dark Side Of The Moon », « Wish You Were Here » et « Animals ») des Pink Floyd, j’ai tout de suite accroché à ce live. Même s’il est un peu difficile d’accès au début 😉

C’est un vrai festival pour les oreilles. Près de 47 minutes qui passent très rapidement… Du rock progressif pur sucre, surtout avec les sublimes « Get’em out by friday », « Musical Box » ou encore « The Knife ».

Autant dire que si vous êtes fachés avec le rock progressif, cet album ne changera rien 🙂

Non, faut vraiment que j’arrête d’acheter de la musique à aussi grande vitesse… Je vais me ruiner à ce rythme là 😀

Le concert de Berlin des Barclay James Harvest : avoir les deux versions est indispensable ?

Quand en 1982, le groupe Barclay James Harvest fait un concert gratuit à Berlin (devant plusieurs dizaines de milliers de personnes), un album sort. J’avais déjà parlé du titre phare « Child of the universe » dans un autre billet.

Lors du passage en CD, Polydor qui produit les Barclay James Harvest propose une version assez spéciale du concert. Non seulement deux titres manque à l’appel, mais la liste des titres est chamboulée. Voici la liste de la version de Polydor :

  1. Berlin
  2. Loving Is Easy
  3. Mockingbird
  4. Sip Of Wine
  5. Nova Lepidoptera
  6. In Memory Of The Martyrs
  7. Life Is For Living
  8. Child Of The Universe
  9. Hymn

Et la pochette de la version Polydor du concert :

Or, sur le site « officiel » des Barclay James Harvest, on peut acheter pour environ 14 € la version « complète » du concert qui est composée ainsi :

  1. Love on the Line
  2. Mockingbird
  3. Rock N’ Roll Lady
  4. Nova Lepidoptera
  5. Sip of Wine
  6. In Memory of the Martyrs
  7. Life Is for Living
  8. Child of the Universe
  9. Berlin
  10. Loving Is Easy
  11. Hymn

Et sa jaquette, légèrement différente :

La version complète dure environ 12 minutes de plus. Avoir les deux est intéressant pour une simple raison : la version « courte » permet d’avoir un aperçu assez complet de la prestation, bien que la liste des morceaux soit complètement chamboulée.

La version « complète » du concert permet de se replonger dans l’ambiance du concert, surtout avec le compte à rebours en allemand au début du premier titre !

La ballade du vendredi matin : « The Day The World Went Away »

C’est un des titres phare du double album « The Fragile » du groupe Nine Inch Nails, sorti en 1999. Sorti d’abord comme morceau d’introduction sur un CD simple (Halo 13 dans la numérotation de Nine Inch Nails), il est le deuxième du premier CD du double album « The Fragile ».

Si Nine Inch Nails peut produire des titres assez puissant, il a produit de belles ballades, comme « Hurt » dont j’avais parlé il y a plus d’un an.

Trève de bavardage, voici donc « The Day The World Went Away ».

Pour une fois, une édition remastérisée qui a de l’intérêt !

J’ai tendance à me méfier des versions « remastérisées » des albums déjà sorti sous format CDs, car souvent, ce n’est qu’une copie reprise et un peu dépoussiérée des versions précédentes. La remastérisation des albums des Beatles est un peu une exception, car les livrets fournis avec sont d’excellentes qualités.

Un autre contre exemple, c’est l’édition remastérisée de « Everyone Is Everybody Else » des Barclay James Harvest.

L’album sorti en 1974 – très bonne année, n’est-ce pas 😉 – avait à l’origine neuf pistes. Sur l’édition que j’ai achetée sur Amazon.fr, c’est 14 pistes qui attendent l’auditeur.

En effet, deux versions alternatives de la sublime ballade « Child Of The Universe » sont proposées, ainsi que des versions alternatives de « The Great 1974 Mining Disaster » et de « Negative Earth », sans oublier une piste intitulée « Maestoso (A Hymn In The Roof Of The World) »

Pour une fois, je suis content d’une version remastérisée d’un album 😉