« Paddy’s Club », nouvel album des Anozel : le post-rock français en a encore sous le pied.

Le 4 janvier 2022, je parlais de leur deuxième EP, « The Eternal Sunday ».

Je rédige et publie ce billet le 17 janvier 2022 au matin, quelques heures après l’officialisation de la publication de leur troisième EP, « Paddy’s Club ». Il y a 5 pistes pour un total de 28 minutes. Il faut dire qu’avec une piste d’introduction qui dépasse les 10 minutes, on pouvait s’attendre à plus long au final.

On commence l’EP avec la piste la plus longue, « Falaise » qui consomme à elle seule un tiers de la durée d’écoute. Ce que j’apprécie dans la piste, outre le rythme presque hypnotique de l’ensemble, c’est le duo des voix qu’on peut y entendre dans le premier tiers de la piste. Avec le solo de guitare saturée dans le dernier tiers.

À partir de « Mirliflore », on attaque des pistes assez courtes, de 3 à 5 minutes maximum. C’est ici qu’on comprend que l’EP est découpé en plusieurs « sous-pistes ». Encore une fois, le duo de voix, la guitare qui joue un rythme hypnotique rendent l’ensemble prenant.

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« The Eternal Sunday » d’Anozel : Vive le post-rock français.

J’ai été contacté par le groupe qui m’a parlé de leur EP qui sortira, ou sera sorti, le 17 janvier 2022 – un article dédié lui sera sûrement consacré – et en attendant, j’ai voulu parler de leurs créations et de leur univers post-rock qui sait envoyer du bois par moment.

Anozel est un groupe de post-rock originaire des Vosges, né en 2017. Après un premier EP du nom de « No name » (en février 2019), un deuxième – celui concerné par cet article – est sorti en septembre 2020.

L’album est téléchargeable à prix libre et coûte 10€ en version physique.

On est dans un album varié avec 7 pistes, allant de 2 à 14 minutes pour un total qui frôle les 48 minutes. Oui, c’est un grand écart facial en terme de durées.

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