« The Eternal Sunday » d’Anozel : Vive le post-rock français.

J’ai été contacté par le groupe qui m’a parlé de leur EP qui sortira, ou sera sorti, le 17 janvier 2022 – un article dédié lui sera sûrement consacré – et en attendant, j’ai voulu parler de leurs créations et de leur univers post-rock qui sait envoyer du bois par moment.

Anozel est un groupe de post-rock originaire des Vosges, né en 2017. Après un premier EP du nom de « No name » (en février 2019), un deuxième – celui concerné par cet article – est sorti en septembre 2020.

L’album est téléchargeable à prix libre et coûte 10€ en version physique.

On est dans un album varié avec 7 pistes, allant de 2 à 14 minutes pour un total qui frôle les 48 minutes. Oui, c’est un grand écart facial en terme de durées.

Je dois dire que j’ai rapidement accroché. On trouve des pistes assez douce, comme « 25 », « Cheptel », « Bleu » et des pistes qui sont un peu plus mordantes, comme « Metz » et « Grès ». Avec la piste « A few week ago », on éclate les compteurs avec une piste de 14 minutes. On y retrouve les fondements du post-rock avec ses guitares lanscinantes. Avec l’ajout d’une voix féminine au milieu de la piste.

La dernière piste « Kurtz » commence avec un texte parlé à deux voix. Un effet assez p

C’est simple. Si vous aimez le post-rock, cet album pourra sûrement vous plaire. Je dois dire que la voix étouffée sur certains titres m’a interpellé et m’a pas mal plu.