A Whale’s Lantern, un groupe fondé via le réseau Mastodon

Mastodon, c’est l’équivalent ouvert et réussi de Twitter. Alors que le réseau a fêté ses deux ans le 14 octobre 2018, c’est pour moi l’occasion de parler d’un groupe musical né via Mastodon, A Whale’s Lantern, dont les créations sont téléchargeables à prix libre sur Bandcamp.

C’est un groupe de musiciens, qui à l’image de Tryad créé en 2005 collaborant via internet, a pris mastodon comme support de mise en contact.

Le groupe a sorti trois albums depuis décembre 2017. Le noyau dur est constitué principalement par Kevin Hogson, Mascha et Michael Silverstone. D’autres artistes se sont joints ponctuellement ou sur la durée pour les albums suivants.

Après « Flight into The Nebula » en décembre 2017 et « Everything Is Made of Smaller Parts » en avril 2018 (qui est aussi l’album le plus long), en octobre 2018 est sorti « Field Trip« .

Quant au genre musical ? Comme le précise si bien le groupe, c’est un mélange de folk plus ou moins expérimentale, avec quelques tendances électroniques spécialement sur le dernier opus. Mais je vous laisse découvrir tout cela. Au moins, cela prouve une chose : si des personnes considèrent Mastodon comme complètement inutiles, elles se sont trompées !

Bonne écoute !

« The 13th Hour » des Onirik Illusion : vive le chiffre 13 :)

Il y a des albums qui vous laissent une marque dans le cerveau dès la première écoute. Le premier album des Onirik Illusion en fait partie.

Quand je vous dirai que c’est un mélange metal gothique et symphonique, de chant guttural masculin, de chant clair et guttural féminin, c’est certain que la réponse est : « encore une fois ? »

C’est vrai que dans le domaine du metal, tout a été fait ou presque. Mais il y a des albums qui reprenant des recettes sur-employées sortent du lot.

C’est le cas ici. L’album est sorti en mai 2017 et j’ai du l’écouter la première fois aux alentours de juin-juillet 2018. La première écoute m’avait fait dire : « Tiens, c’est pas mal ». J’avais mis une option sur l’album. Je l’ai réécouté entre temps et j’ai finalement décidé de l’acheter au format physique en ce début septembre 2018.

Nous voila donc face à un album qui fait une petite heure avec 13 pistes. Tout tourne dans l’album autour de ce chiffre à la triste réputation. Après une courte introduction qui rappelle le début de « Black Sabbath » avec son carillon, on est plongé dans le vif du sujet.

Continuer la lecture de « « The 13th Hour » des Onirik Illusion : vive le chiffre 13 🙂 »

Mardi musical britannique, deuxième : « Fukushima Surfer Boys » des Trojan Horse.

Pour ce deuxième billet musical du 23 janvier 2018, je vais aborder le troisième album des Trojan Horse, « Fukushima Surfer Boys » sorti en octobre 2017 chez Bad Elephant.

J’avais déjà parlé de leur EP « Fire » en juillet 2012.

Après un deuxième album assez réussi « World Turned Upside Down » sorti en octobre 2014, j’attendais d’oreille ferme leur nouvel opus.

Est-ce que le groupe qui s’inspire de King Crimson, Jethro Tull, Yes (et aussi un peu Emerson, Lake and Palmer) allait réussir la passe de trois ? Vous pouvez vous en douter, car je ne parle que rarement des albums qui m’ont laissé un goût amer en bouche.

Continuer la lecture de « Mardi musical britannique, deuxième : « Fukushima Surfer Boys » des Trojan Horse. »

2017, une année où mon enfance et mon adolescence ont un peu moins souffert ?

Il y a un an à peu de chose près, j’écrivais un billet franchement amer sur l’année 2016 qui avait été une vraie hécatombe en ce qui concernait mon enfance et mon adolescence. À trois jours du nouvel an 2018, j’ai voulu faire un bilan pour voir quelles célébrités m’ayant touché sont parti sur les 12 derniers mois.

Je dois dire que l’année 2017 a été à peine plus douce… Du moins, en ce qui me concerne. J’ai exprimé dans un autre billet l’indifférence que j’éprouve envers la disparition de Jean-Philippe Smet.

Sur le plan cinématographique et télévisuels ? Chronologiquement :

Janvier 2017 : Mike Connors, éternel interpètre de Mannix. Je me souviens d’avoir vu la série lors de sa rediffusion en France. Même si déjà à l’époque la série était datée, elle était toujours agréable à voir. Et révolutionnaire, Gail Fisher étant une des premières actrices afro-américaines avec un rôle régulier dans la série.

Continuer la lecture de « 2017, une année où mon enfance et mon adolescence ont un peu moins souffert ? »