Les scènes rétroludiques ne cesseront jamais de m’étonner…

Mis à part les prix honteusement gonflés – que ce soit pour le matériel ou le logiciel d’époque – les differentes scènes rétroludique continuent d’envoyer du lourd, comme avec le très récent jeu typé Zelda sorti le 26 octobre et créé par Sarah Jane Avory.

C’est en suivant IndieRetroNews que je suis une nouvelle fois tombé sur le cul. Prince of Persia premier du nom a été porté sur Atari 8 bits. J’avais parlé de ce jeu développé à l’origine pour Apple II et dont le code source avait été publié en 2012 sur Github par Jordan Mechner.

Mais d’autres titres arrivent sur des ordinateurs qui sembleraient être incapables de gérer les dits jeux. Par exemple, un port de Puzzle Bobble pour Amstrad CPC par l’équipe de Crazy Piri.

La scène du Commodore 64 n’est pas en retrait avec un port du mythique Galaxian (papa de Galaga)… Et je dois dire qu’il est loin d’être facile…

Il serait bête d’oublier un magnifique port pour le Commodore Plus4 du casse brique Arkanoid. Bref, du lourd dont je parle en vidéo.

Vous avez pu le constater, les scènes rétroludiques Amstrad 8 bits, Atari 8 bits et Commodore 8 bits en ont encore à montrer, quelques quarante années – en moyenne – depuis la sortie des ordinateurs en question.

7 réflexions sur « Les scènes rétroludiques ne cesseront jamais de m’étonner… »

  1. C’est super de voir qu’il y a toujours des PASSIONNÉS pour créer des jeux pour des machines aussi anciennes. Mais la vraie cerise sur le gâteau serait de voir ces jeux modernes tourner sur les vraies machines, et non pas des émulateurs, aussi proches soient-ils des originales. Évidemment, mettre la main sur le matériel original et que celui-ci soit resté en bon état (ou ait été bien restauré) sera plus facile à dire qu’à faire.

      1. Un RPI c’est entre 30/40€ la vrai question est pourquoi on ne peut plus produire ce type de machine? et que on ne me sorte pas « brevet » elle on plus de 40 ans! les brevets sont périmés depuis au moins 20 ans!

        En fait le hic c’est le modèle d’affaire pour produire en série et je répond a ma propre question.

        Pour l’adaptation de jeu un seul mot:

        respect.

        1. Pour les vieilles machines, c’est une question de composants. Certains sont communs mais d’autres sont encore sous des copyrights divers et variés qui peut empecher une production moderne.

          Sur ta conclusion, je te rejoins 🙂

          1. La solution intermédiaire me semble être un RPI 400, pour son loock rétro en plus d’être une machine abordable out of box, avec une distrib dédiée et optimisée pour la partie soft.

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