…Il y en a encore. J’ai déjà parlé de ce genre de jeux que j’aime beaucoup, même si 85 à 90% d’entre eux sortent en anglais et en espagnol. Si on va sur CASA, un site qui répertorie les jeux d’aventures textuels, il y a – fin septembre 2024 – selon les statistiques du site 7461 jeux en anglais, la deuxième position étant l’espagnol avec 733 jeux, le français étant loin avec seulement 204 jeux.
J’ai déjà parlé plusieurs fois des jeux d’aventures textuels, car je les ai connus dès le début de ma vie informatique (vers 1988-1989) avec des titres comme Sram ou Sram 2 comme je le disais dans ce billet de septembre 2015.
De nombreux créateurs de jeux d’aventures ont été publiés au fil des années et sur toutes les plateformes. C’est ainsi que j’avais parlé de Jade (pour l’Amstrad CPC) en juillet 2019.
Dans le monde du Commodore 64, il y a un outil plutôt récent, car datant de 2016 qui permettent de faire des jeux semi-textuels avec des actions en utilisant des mots clés via le joystick. C’est le système D42, jadis commercialisé par Protovision et qui est désormais un freeware.
Les deux seules langues supportées sont l’allemand et l’anglais. Bah, c’est pas grave 🙂
C’est cet outil qui avait été employé pour créer une espèce d’escape game, dont j’ai parlé en août 2024. Cependant l’outil avait été utilisé pour adapter un jeu d’aventure textuel classique, « The Curse of Rabenstein » avec le système D42. Édition créée pour les 40 ans du Commodore 64 en 2022.
Après m’être battu avec la solution officielle, j’ai réussi à finir la version créée avec D42, car les verbes sont trop « simples » pour certaines actions. Mais néanmoins, le jeu reste finissable. J’ai volontairement pris la version cartouche pour deux raisons : le temps de chargement réduit et le fond sonore.
Vous avez pu le voir, cela permet de simplifier la recherche des verbes et des objets. Certaines personnes ne jureront que par la saisie au clavier, mais pour une fois, avoir du point’n’click assez fonctionnel, j’applaudis des deux mains.
Hors sujet, désolé Fred…
un essai publié sur Distrowatch m’a fait découvrir le gestionnaire de gestionnaires de paquets rhino PKG: https://wiki.rhinolinux.org/user/rpk. S’ils n’ont pas emballé Appimage c’est uniquement parce que les Appimage ne s’installent pas, elles s’exécutent 😉 A quand le gestionnaire de gestionnaires de gestionnaires de paquets? ROTFL, comme ils disent outra-atlantique 🙂
Aucun problème pour le hors-sujet. Quant à la Rhino, elle m’en touche l’une sans me faire bouger l’autre.
Ah je vais regarder à l’occasion « The Curse ».
Article vu avec du retard : Nitendo acrroît sa lutte contre les émulateurs indies : https://www.phonandroid.com/nintendo-fait-disparaitre-plus-de-8500-emulateurs-switch-dun-seul-coup-ca-ne-rigole-plus.html
Autre chose (je suis un peu dans les miettes ce soir désolé) : Fred, tu parles de beaucoup, beaucoup de choses concernant Arch et notamment les installateurs graphiques, par le passé. Par contre, le projet ALG continue et tu sembles l’éviter ? (ou tout simplement tu n’as pas le temps de parler de tout ^^) J’ai testé, je trouve que c’est un bon installateur (testé simplement en VM).
https://sourceforge.net/projects/arch-linux-gui/
J’ai déjà installé en mode text ou semi text Arch et d’autres distros comme Slint.
Par contre ALG permet d’installer plus facilement en WIFI, donne une vision plus claire je trouve du démarrage en UEFI ou Grub.
En tout cas, pas de dépôt supplémentaire, seulement cet installateur, après c’est une arch pure (du moins le choix est laissé pour chaque desktop principale : ex par exemple : une kde soit vanilla soit légèrement custo)
Bref, je suis le projet en tout cas. Pas de quoi me faire rompre avec Fedora (question d’habitude) mais sur un second ordi, c’est prévu…
Merci pour le lien concernant la lutte de Nintendo contre les émulateurs tiers. Quant à ALG, je ne connaissais tout simplement pas le projet. Voila, voila, voila !