Et si Archlinux disparaissait, quel serait ma distribution de repli ?

J’utilise Archlinux depuis 14 ans et demi (mai 2009), après environ 3 ans avec Ubuntu. À l’époque, c’était un grand écart facial, et le saut à faire était immense.

Archlinux (sur mon PC fixe et mon RPI 4 en version ARM) est un des trois OS libres que j’utilise au quotidien (ou presque).

Comme je l’avais précisé en mai 2023, j’ai trois casquettes linuxiennes : Archlinux, Manjaro et Debian GNU/Linux.

Je me suis alors demandé si – ou quand ? – Archlinux cessera d’être développée, quelle serait ma solution de repli :

  1. OpenSuSE Tumbleweed ? Non, merci, j’ai horreur des couteaux suisses à la Yast2
  2. Debian GNU/Linux ? Non, merci. Même si j’apprécie sa présence sur mon ancestral eeePC 1005HAG, c’est trop à l’opposé de mes désidératas en terme de distribution GNU/Linux
  3. Gentoo Linux ? Non, merci. Je n’ai pas envie de passer mon temps à faire compiler la moindre mise à jour
  4. Slackware Linux ? Non, merci. Même si elle garde une place spéciale dans mon cœur, j’apprécie d’avoir les dépendances gérées
  5. NixOS ? Non, merci. Même si les distributions déclaratives sont d’une puissance monstrueuse, ça fait trop jouet pour geek en mal de sensations fortes
  6. Ubuntu ? Non, merci. Je ne suis plus le faux débutant que j’étais vers 2006 à 2009.

Il ne reste plus grand-chose dans les distributions sérieuses. Vous l’avez sûrement deviné, ma solution de repli serait Fedora Linux avec Gnome. Même si dnf est lent, cela reste un bon gestionnaire de paquets. Et la possibilité de migrer d’une version majeure vers la suivante sans trop de casse est un bon point pour elle.

Je n’ai pas eu besoin de faire un développement digne d’une dissertation pour exprimer mon opinion sur les distributions sérieuses. Et vous, quel serait votre choix si votre distribution GNU/Linux venait à disparaître ?

40 réflexions sur « Et si Archlinux disparaissait, quel serait ma distribution de repli ? »

  1. Je suis exactement dans le même état d’esprit, de me dire : Et si Arch disparaît…. ? Ou simple, de décider d’en changer pour X ou Y raison.

    J’ai un parcourt sinueux aussi, d’abord sur RedHat/Mandrake vers 1998 (oui oui, suis un vieux ^^) mais j’ai pas trop accroché. Ensuite j’ai fais mes premières vraies armes avec Gentoo (stage 1 à l’époque), mais effectivement, avec mon vieux Laptop Pentium 3 900…. je passais plus de temps à le mettre à jours qu’à l’utiliser et ça a fini par me gaver complètement après quelques années.
    J’ai fais un bref passage sur Xubuntu, puis suis resté presque 8-9ans sur Linux Mint.
    J’ai ensuite découvert Arch Linux, que j’ai tout de suite adoré, et je suis resté avec Arch sur Laptop et Mint sur Desktop pendant quelques temps. Puis l’envie de faire tout passer à Arch m’a titillé de plus en plus et j’avais envie du même OS à gérer sur tout les ordis (parents, compagne, amis, ….). Mais sans faire l’installation Arch from scratch (un peu trop de machines à faire) et je me suis du coup tourné vers Manjaro que j’ai utilisé pendant 2 ans. Et ici, récemment, je suis passé à Endeavour (en test, plutôt content pour le moment).

    Coté serveur, c’est du Debian +++, ça c’est inébranlable depuis plus de 20ans.

    Dans l’optique d’un plan B coté Desktop, j’ai testé pas mal de distro (histoire de me rassurer).
    Avec les frasques de Canonical, c’était déjà exclu de revenir sur Mint (jusqu’à quand pourront-ils trouver des astuces pour contourner la m**** de Canonical ?). Idem pour tout ce qui est un peu trop lié à une entreprise d’ailleurs….
    Du coup, j’ai testé des Debian based (incluant Debian, Mint DE, ainsi qu’une collection d’autres (on sent bien que les Ubuntu based cherchent un fallback avec du Debian based les derniers temps, et à juste titre)) et MX Linux, serait probablement le plan B.

    C’est du Debian sous le capot, avec un dépôt MX, un kernel (ahs) plus récent et du support hardware supplémentaire, ainsi que des paquets plus récents pour certaines apps (python, node, …). Et pas mal d’outils maison bien pratiques.

    Reste le soucis de la disponibilité de certaines applications… Les dépôts MX contiennent déjà quelques paquets supplémentaires comparé à Debian. Et pacstall/deb-get/flatpak complètent presque entièrement ce qui manque. Et ce qui manque, est push sur un repo perso sur Package Cloud (et pourrait être automatisé si le switch vers MX devait arriver).

    Voilà, merci d’avoir eu le courage de lire 😉

  2. Concernant la Fedora, c’est vrai que DNS (3 à l’heure actuelle) est lent. Et DNF dragora est une cata. Mais DNF5 est en développement et est assez prometteur d’après les retours. Il pourrrait être jusqu’à 10 fois plus rapide dans certains cas.

    Après avoir débuté sur Mint (comme beaucoup), j’ai essayé Arch, mais comme tu l’as toujours dit, « Arch est une super distribution, mais elle demande un cerain investissement personnel » et je n’avait pas réellement ni le temps ni l’envie.

    Fedora, avec sa version « pure » de Gnome a été mon asile. Les migrations passent toutes seules. Exception faite pour les extensions qui cvassent facilement si on en prend des exotiques. Mais on on utilisen celles fournies avec la distrib, jamais de soucis. Et je dois dire qu’à l’utilsation, je n’ai besoin que de AppIndicator et DashToDock.

    Et le dernier « incident » avec le retardement de la 39, montre combien l’équipe de développement aborde les migrations avec sérieux. Le fait qu’il y a ait RH derier tout ça n’y est probablement pas pour rien.

  3. Alors moi je ne sais pas ce que je ferais si Debian disparaissait car je ne maîtrise pratiquement que cette distribution qui me convient parfaitement.
    Faudrait peut-être que je me dirige sur Fedora mais je n’ai jamais testé sur une longue période.
    A pluche.

  4. Pour moi, ce serait probablement Debian, même si son approche conservatrice me dérouterait un peu au début. Mes dernières expériences dans le monde Red Hat et dérivées remontent à 2008, Slackware est trop compliquée pour moi et Ubuntu (et dérivées), j’ai lâché l’affaire. Je suis trop bien sous Arch en fait, c’est le compromis idéal à mes yeux.

  5. Éternel débutant, pour moi le parcours est 1998 avec une Debian et passage sur de multiples distrib… jusqu’à adopter courant 99 Mandrake. Depuis c’est, Mandrake, Mandriva et maintenant Mageia.
    De temps en temps un petit coup d’œil pour voir ailleurs, mais retour systématique sur mon « M » préféré. C’est difficile de changer quand on a des habitudes.
    La suivante…. certainement celle qui succèdera à Mageia, mais pour le moment ce n’est pas d’actualité.
    Mageia est une distrib sérieuse avec une communauté francophone très sympathique et réactive aux différents problèmes potentiels d’install ou d’utilisation.
    C’est celle que je conseille à tout mon entourage et jusqu’à présent personne n’est mécontent.

    1. La seule fois où j’ai utilisé en dur une distribution de la famille Mandrake/Mandriva/Mageia, ça remonte à la Mandrake 10.0 aux alentours de 2003-2004 si mes souvenirs sont bons.

      Depuis, je suis passé à une autre famille qui ne souffre pas autant d’un héritage technique plutôt lourd par moment.

  6. Pour remplacer Arch, je regarderais peut-être du côté d’Alpine ? Le but n’est pas vraiment le même mais on retrouve le côté minimaliste + rolling release + configuration des composants à faire soi-même.

    Si Debian devais disparaitre j’avoue que je ne saurais pas vers quoi me tourner. La famille Red Hat est morte donc il ne resterai qu’Opensuse ou Mageia en terme de distributions « stables » et ennuyeuses.

  7. Bonjour,
    @Makoto
    Tout à fait d’accord pour MX, une des meilleures dérivées de Debian en version stable. Le seul (gros) inconvénient que j’y ai trouvé, c’est l’impossibilité de changer de version sans réinstallation. C’est peut être l’occasion de faire du propre mais c’est bien lourd de devoir tout reconfigurer tous les 2 ans. Pour les reste, comme c’est basé sur stable ce n’est pas de 1ère fraîcheur côté logiciels.
    Je suis principalement sous Manjaro depuis 3 ans et n’imagine pas par quoi remplacer, et certainement pas par quelque chose qui demande du temps pour la maintenance.

    1. Yop @phreg,

      En fait, je venais de migrer une grosse partie de mes « machines » de Debian 11 vers 12 et j’avais commencé à tester MX Linux juste avant la sortie de la version 23 peu de temps après.

      Et il y a bien une procédure de migration : https://mxlinux.org/migration/ , mais je ne suis pas fan de la « méthode ».

      Et venant d’une rolling release, une distro à ré-installer tout les 2 ans, c’est juste un no go absolu.

      Du coup, j’ai tenté le coup (je testais de tout façon sur une machine à part), et j’ai migrer à la « Debian », qui se résume à (en ultra short/résumé) update, full-upgrade, reboot, modifications des miroirs dans /etc/apt/….. , update, re full-upgrade et voilà 😉

      Ca s’est bien passé, rien de cassé à l’arrivée (et pourtant, j’avais bien bidouillé avant ça pour mes tests).

      Pour ce qui est de la fraîcheur des logiciels, ben Debian 12 venant de sortir, ça passe encore, ce sera dans x temps que ça commencera à coincer un peu. De plus, il y a pas mal de paquets de MX qui fournissent des versions plus à jours (python, node, Firefox, Thundebird, …). Et enfin, comme je disais dans le message précédent, pacstall (AUR sauce Debian), deb-get, flatpak complètent pas trop mal ce qui manque.

      Quand j’ai repris ma doc d’installation pour Arch/Manjaro (j’avais pas encore switché sur Endeavour), j’ai fais la recherche app par app pour les équivalents. Résultat, j’avais seulement 3-4 apps non disponibles comparé à Arch/Manjaro.

      Pour ce qui est de la maintenance de MX, c’est vraiment minimal pour une utilisation normale.

      Du coup, ce sera mon plan B 😉

  8. J’ai testé pas mal de distributions, mais finalement je suis retourné le plus souvent sur celle qui m’a fait découvrir Linux en 2008, cad Ubuntu.
    Donc si j’imagine que Ubuntu disparaisse ( peu probable ) ou devienne une distribution insupportable, ce qui est déjà plus réaliste, alors je pense que je retournerais sur Archlinux, que j’ai utilisé pendant 2 ans sur mon PC fixe, avec bonheur. Mais ce choix ne serait pas guidé par une idéologie ou des considérations métaphysiques lol
    En fait c’est juste parce que je sais l’utiliser correctement ( tout du moins pour mon utilisation basique ) et cela m’évitera de me retaper une phase d’apprentissage d’une autre distribution X ou Y, hypothèse qui me fatigue rien que d’y penser.

  9. Pour ma part début en 1999 avec Suse, puis une floppé de Mandrake/Mandriva (avec un passage furtif sur red hat car une version de mandriva ne passait pas) Puis en 2002, j’en avais assez des outils Mandriva qui pétaient ce que je configurais à la main.
    Donc début sous gentoo stage 1 qui m’a bien fait avancé dans mes connaissances Linux.
    6 ans plus tard, je passe sous Ubuntu, car je n’ai plus le temps de tout faire et surtout de compiler.
    Je passe sous Arch vers 2012, suite logique pour moi après gentoo: pouvoir gérer la distri de A à Z sur ma machine, mais sans compilation.
    J’ai finis par me lasser et je suis passé sous fedora à partir de la 33. Je voulais la meilleure expérience Gnome possible et j’ai été séduit par la sobriété de la distribution (on n’est pas dans la catégorie où toutes les applis du monde sont déjà préinstallées)

  10. Fedora est fraîche, stable et solide. Pour les nostalgiques de feu Mandrake/Mandriva il y a PCLinuxOS qui utilisent aussi des RPM et qui vient de fêter également ses 20 ans

    1. PCLinuxOS est ma distro principale depuis 2014, et j’en suis très content. Mate en bureau,pour la légèreté et la réactivité. Elle n’est pas aimée en France, surtout parce qu’elle utilise apt-rpm et synaptic, héritage de Conectiva.
      Synaptic et apt-rpm ont subi une sérieuse mise à jour ces derniers mois, et la distro bénéficie d’un nouvel installateur maison.
      Je l’utilise sur quatre machines, deux laptops et deux desktops. Sur le plus puissant de mes desktops, j’ai installé une Fedora 38 KDE en dual-boot il y a quelques mois. J’ai fait l’upgrade vers
      Fedora 39 la semaine dernière. Et ça marche vraiment très bien !
      J’ai installé dnf5, ça marche très bien. Dnf-Dragora ne me pose aucun problème.
      Donc pour moi, ce serait aussi Fedora !

  11. En fait pourrais-tu remplacer mon premier message par celui-ci… dans ma première mouture, j’ai fait trop de fautes, ça me brûle les rétines, merci par avance.

    Salut,
    Est-ce que la fin d’Archlinux en temps que distribution mettrait fin de facto à tout un système ? Est-ce que ça sonnerait le glas pour Pacman, AUR etc… ? Je n’en suis pas sûr, et en fait il y a moins de probabilité pour qu’Archlinux disparaisse que Fedora, pourquoi ?
    Peut être parce que Fedora est un projet open source soutenu principalement par Red Hat, qui doit se conformer aux lois américaines. Arch Linux lui est un projet open source et communautaire qui ne dépend pas d’une société.
    Par contre, que se passerait-il si Red Hat ne soutenait plus Fedora ne serait-ce que sur le plan des ressources et infrastructures, des impactes sur le développement, des relations avec les communautés … ?
    A courts termes, la communauté de Fedora pourrait chercher des solutions alternatives mais à moyens termes, ça signifirait probablement la mort de Fedora.
    Donc mon gros Loulou, tu peux dormir sur tes deux oreilles, la fin d’Archlinux n’est pas pour demain. Mais ça tu le sais parfaitement 

  12. Effectivement, je suis d’accord avec ton analyse sur le risque plus élevé de disparition de Fedora comparé à celle d’ArchLinux qui est vraiment indépendante, contrairement à Fedora.

  13. L’article est un peu (beaucoup ?!) pompé sur celui de Seb ?

    Tiens, curieuse de savoir pourquoi pas Debian Sid ?
    Parce que c’est facile à cerner ton type de distribution, que ce soit à la pointe de la technologie (donc potentiellement bogué), rolling, brute sans artifice à la con comme yast.

    Au final une Debian Sid ressemble à une rolling (inutile de encore dire qu’en période de gel, elle est figée elle aussi, ceux qui l’utilisent savent qu’il y a des M.A.J même si moins nombreuses).

    Une Fedora Rawhide t’irait bien aussi, pourquoi ne pas la mentionné ?

    Et une Gentoo, excuse moi, mais tu dis que compiler tu as autre chose à faire, mais qui compile son navigateur ? Et construit des paquets pour AUR ? C’est un peu contradictoire ton affirmation, non ?!

    Tu réagis comme un puriste d’archlinux, on a bien compris que hormis arch toutes les autres distributions sont de la grosse merde en barre, pourtant certaines sont nées il y a fort longtemps, et sont toujours en vie, et utilisées dans divers domaines, la conclusion de l’article aurait pu être + honnête je trouve, dire simplement qu’aucune ne peut remplacer arch 😉

    1. Je me suis inspiré de celui de Seb en évitant de gloser sans fin sur certaines parties précises.

      Sur le eeePC, c’est une Debian unstable en 32 bits. J’aurai dû le préciser, mea culpa.

      Fedora Rawhide ? Non, merci. Trop casse gueule.

      La compilation de mon navigateur me prend 35 minutes à 1 heure. Et je peux avoir des activités en parallèle sans trop de ralentissements 🙂

      Puriste archlinuxien ? C’est ton point de vue, cependant je suis plus ouvert d’esprits que certains archlinuxiens sur le forum officiel. Pas difficile non plus !

      J’ai listé les distributions sérieuses – en clair celle qui ont au minimum 5 ans d’existence – en disant pourquoi ça ne collerait pas.

      Je suis plus ouvert que tu ne le penses. Sinon, je n’aurai pas mis de Debian Sid sur le eeePC. Je me serai replié sur une Archlinux32, mais au moment où j’ai remis en route le eeePC, Archlinux32 n’était pas très en forme. D’où mon choix de la Debian Sid en 32 bits… Qui restera le temps que Debian ne dise adieu à son tour au x86 en 32 bits.

  14. Bonjour,
    de mon côté je suis passé par suse, mandrake, slackware, gentoo et bian) avant de tomber sur ma distribution actuelle : voidlinux (que je ne peux que conseiller :))
    Si Voidlinux disparaissait je serais bien embêté…je repasserais certainement sur une debian sid, le temps de trouver autre chose.
    Mais vraiment, ca m embeterai : je n aime ni archlinux, ni fedora, ni ubuntu (pour des raisons differentes).
    Slackware ou gentoo, même si j aime beaucoup, j ai déjà donné.
    Bref faudrait vraiment que je me creuse la tête serieusement.

    Ps. Je ne sais plus qui parlait d’alpine, faut faire attention car meme si ca marche pour du desktop ce n est pas fait pour à la base et le choix de musl au lieu de glibc peut s averer problématique lorsqu on a besoin de s installer un truc à compiler soit meme.

    1. Voidlinux est sympa, mais l’équipe derrière est un peu trop petite pour être pérenne sur le long terme.

      Quant à Alpine, pour moi, c’est une distribution pour des containers à la docker plus qu’une distribution bureautique.

      1. Tu as tout à fait raison pour void, c est ce qui m a longtemps fait hésiter, mais la pérennité pour des machines perso (desktop et serveurs) ne me préoccupe pas plus que ça, au pire on les refait.
        Ceci etant et à mon grand etonnement, la distrib est toujours là en ayant connue deux fois les petages de plomb et departs du createur ainsi que le décès d un membre historique (et tres actif).

  15. Je me suis posé la question suivante: si Slackware disparaît, sur quoi re-baser Slint ?

    Mais il est fort peu probable que quand cela arrivera je sois encore en état de maintenir une distribution, encore moins de changer de cheval sachant que Patrick a 57 ans et que j’aurai 3/4 de siècle dans moins de 3 mois si j’y arrive 🙂

    A titre personnel je trouve MX bien finie. Void pourrait aussi me tenter, et aussi NixOS pour son gestionnaire de paquets.

      1. Méa Culpa effectivement c’est pas le bon. Dommage je n’ai pas retrouvé l’autre. C’était une Arch avec quelques paquets ajoutés et une déco façon Manga. Une bonne DGLFI que ça aurait fait !

  16. Salut Fred,
    Je confirme ce que j’ai put lire ici, ARCH n’est pas près de disparaître car j’ai lu ce matin sur Distro, la sortie de Oracle Linux,donc de la société Red hat!! qui propose aussi des iso pour ARCH, ok mais que vaut ces isos, les as tu testé? ,ou bien cela ne t’intéresse pas plus que cela!! moi j’ai bien envie de voir à quoi cela peut bien ressembler.
    Bonne journée

  17. oula,je pense que je dois confondre ou mal lus, c’est aarch64 donc rien à voir je suppose,ou y a t-il un lien? ou carrément rien a voir?

  18. Pour ma part, en cas de disparition de mon « daily driver » (Fedora justement) j’irai soit sur Sparky Linux (agréable surprise testée en VM) soit sur la prochaine sortie d’openSUSE, Slowroll, actuellement en cours de test.

  19. Et si Debian disparaisait ? Qu’en serait’il des autres distributions et de Linux pour desktop en général?
    Moi aussi j’approche des3/4 de siécle !
    Est-ce qu’un PC à la maison sera encore nécessaire au vu de l’évolution des smartphones ?
    Si je suis encore là et les neurones en état, je ferai un état de l’existant et je me tournerai dans ce que je connais :
    Salix (Slackware)
    OpenSuse
    PCLinuxOS ou Mageia …
    Et en désespoir de cause W…

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