Je dois dire que j’ai toujours bien aimé la distribution qui a pris la relève de la Mepis Linux. Cela fait près de 9 mois au moment où je rédige cet article que je n’ai plus parlé de la MX, j’ai appris via distrowatch que la version 17.1 est disponible.
Bien que le dernier article disponible sur le blog concerne la première release candidate de la 17.1, la 17.1 est bien listée sur la page de téléchargement de la distribution :
Si on devait résumer la Mepis ? Prenez la Debian GNU/Linux stable avec un Xfce légèrement revampé, des outils simplificateurs et des versions plus récentes des outils les plus couramment utilisés.
Même si la version 16.1 basée sur la Debian GNU/Linux Jessie est sortie peu avant la Debian GNU/Linux Stretch et donc très tard dans la vie de la base utilisée par MX, j’ai eu envie de laisser sa chance à la 17.1 qui sort plus d’un an avant la date estimée de publication de la Debian GNU/Linux Buster (vers juin 2019 en prenant un cycle de vie de deux ans pour Debian).
J’ai donc fait chauffer mon ami transmission pour récupérer l’image ISO via Bittorrent.
J’ai configuré une machine virtuelle dans laquelle la MX, légèrement plus lourde que sa soeur la Antix, se sentira à l’aise : à savoir 4 Go de mémoire vive et 4 cpu aux fesses 🙂
Rien que l’écran de démarrage de l’image live montre que l’esthétique ne va pas passer au premier plan. À noter la prise en charge de VirtualBox dès le début.
Nouvelle preuve que l’esthétique n’est pas oubliée avec la session chargée par défaut. Malgré la présence d’un thème d’icones flat, on a un ensemble des plus léchés. Miam !
L’installateur est le même que celui des versions précédentes. Il fait donc son travail. Que lui demander de plus ?
J’ai décidé de prendre la version la plus automatisée possible. Même si 3 à 20 minutes sont annoncées, l’étape de copie du système sur le support de stockage a pris une grosse dizaine de minutes avec du vent dans le dos.
Une fois l’installation terminée, j’ai éteint la machine virtuelle pour enregistrer la vidéo pour m’occuper de la post-installation.
Comment le dire en quelques mots ? Cette nouvelle version, c’est du pur bonheur. Les outils simplificateurs font le travail qu’on leur demande. Que la MX-Linux 17.1 arrive au milieu du cycle de vie de la Debian GNU/Linux Stretch fait qu’elle ne souffre pas des limites rencontrées par sa version 16.1.
Le seul gros point chiant, cela a été de configurer correctement Mozilla Firefox 59 avec la traduction française, mais cela s’est résolu assez rapidement.
Donc, oui, c’est un grand cru que cette nouvelle version de la MX-Linux.
Bon certes, les goûts et les couleurs, mais moi leur barre à gauche (barre des taches), je la trouve seulement horrible 😉
Elle se déplace tu peux la mettre aussi en haut en bas.
Je vais gonfler Fred mais j’ai envie de dire « MX Outils ». Encore des outils simplificateurs que seuls la MX offre.
Tu peux mettre ta barre où tu veux.
Exactement. Il est vrai que le positionnement vertical à gauche, ça fait un brin bizarre, mais la gestion de l’apparence se fait en quelques clics. Cf la vidéo.
Si on laisse de coté les « goûts et couleurs » qui effectivement ne se discutent pas, il me semble que d’un point de vue fonctionnel mettre la barre à gauche (ou à droite) est plus logique avec la mode des écrans 16/9. Personnellement, je mets même la partie indicateurs dans la barre verticale, comme ça j’ai toute la hauteur de l’écran pour mon application.
Elle a l’air sympa la MX-Linux, personnellement j’ai une Debian Buster avec xfce qui fonctionne plutôt bien, je peux très bien mettre la barre de tableau de bord sur le coté gauche en quelques secondes (mais je suis pas fan).
A pluche.
Merci de l’astuce pour mettre en français Firefox, depuis l’arrivée de la version 59 sur Manjaro, elle était restée en anglais.
Bonjour Frédéric,
Effectivement, la MX 17 est aussi un de mes gros coups de coeur. Tout y est ou presque. J’apprécie tout particulièrement le choix de ne se consacrer qu’à un seul environnement de bureau. L’offre logicielle par défaut est assez judicieuse. Assez léchée esthétiquement.
Une communauté et une équipe qui devraient avoir les reins solides en outre.
Merci pour la review.
La MX-17 est une tres bonne distribution, tres stable qui peux faire demarrer de vieux PC.
Mais je trouve qu’il lui ont quand meme rajouté un peu trop de programmes car avec 1800 paquets on est loin d’une Debian xfce ou d’une Lubuntu.
Mais elle a sont charme et puis il y a la version Antix 17 pour une base plus légère
Bonjour pour les petites machines, il y a aussi Peppermint OS basé sur Debian/Lubuntu cordialement
Didier.
C’est une super distro bien faite et après c’est une histoire de goût : perso j’adore le choix du thème graphique, de la couleur, des icônes et de la barre à gauche, au moins ça change et cela lui confère une vraie identité graphique!
salut Fred, MX me rappelle le bon temps avec HandyLinux et les conky de Arpinux (même s’il aime pas la majuscule, il le vaut bien ;)).
du coup je vais l’installer sur le portable.
Et oui, c’est du bon et du très très bon.
Ma distro coup de coeur depuis presque deux ans (et pourtant j’en ai essayé de la distribution, mais je reviens toujours vers elle pour la stabilité de la base Debian et l’ergonomie de XFCE).
Chapeau à l’équipe de développeurs.
Je me suis permis de poster le lien vers ton article Fred sur leur forum.
J’essaie de passer à Linux. C’est pas simple car i. je rencontre de la résistance familliale, ii. je suis un Noob (alors que sur Windows je maitrise, et ce n’est jamais simple de quiter sa zone de confort).
Donc tout ça pour dire que j’ai pour l’instant mis linux sur une machine qui date: un Intel NUC (Intel Celeron N2830 / 4Go Ram), mon ancien MediaCenter remplacé depuis par un Nvidia Shield TV et je dois dire, après avoir essayer plusieurs distro, que MX linux 17.1 tourne superbement bien… fluide, joli, simplifié. Bref un très bon compromis entre légéreté et esthétique qui me va bien (à part le logo que je trouve horrible, mais bon osef).
Merci à Fred pour m’avoir, avec sa vidéo, réorienté vers cette distribution. (et bon courage pour la techno de tes voisins).
Zarkoff
Bonjour Frédéric
dans votre dernière video vous parler de mate tweak , je voulez savoir comment installer mate tweak sur fedora et arch Linux
en vous remerciant
Pour Archlinux : https://aur.archlinux.org/packages/mate-tweak
Pour Fedora : je n’ai pas trouvé de paquets pour Fedora.
Merci pour la réponse Frederic
je vais la tester sur Archlinux
bonjour frederic
j’aimerai savoir comment desactiver ipv6 sur fedora
pourtant j’ai fais sa pour desactiver ipv6 mais sa marche pas je comprend pas
j’ai fait sa :
le fichier /etc/sysctl.conf.
net.ipv6.conf.all.disable_ipv6 = 1
net.ipv6.conf.default.disable_ipv6 = 1
net.ipv6.conf.lo.disable_ipv6 =1
sysctl -p
ensuite jai fait sa:
vim /etc/sysctl.d/disable-ipv6.conf
# disable ipv6
net.ipv6.conf.all.disable_ipv6 = 1
net.ipv6.conf.default.disable_ipv6 = 1
puis ensuite sa :
nano /etc/sysconfig/network-scripts/ifcfg-enp8s8
#IPV6INIT=yes
#IPV6_AUTOCONF=yes
#IPV6_DEFROUTE=yes
#IPV6_FAILURE_FATAL=no
#IPV6_ADDR_GEN_MODE=stable-privacy
et sa marche pas
Tout ce qui est ipV6 se règle au niveau de la box de connexion à internet.
merci Frédéric de la réponse
À oui excuser moi , j’avais déjà desactiver IPv6 sur la box mais malgré sa
j’ai toujours IPv6 activer
Si l’adressage ipV6 est désactivé au niveau de la box, en dehors des ordinateurs portables, inutile de toucher aux réglages liés à ipV6.
Quand je fais un watch -n 1 netstat – tulanp
j’ai IPv6 activer
Ok merci de votre réponse