Parfois, cela fait du bien d’être un vieux con.

Avec l’annonce de l’arrivée des Beatles sur iTunes avec 13 albums à 12,99 €, cela fait l’ensemble à 168,87 € (alors que le coffret en version physique est à seulement 150 € sur Amazon), cela fait cher pour du dématérialisé avec l’AAC qui est un format de compression à perte… Mais vu que les oreilles se sont habituées à du MP3 en 192…

Il est vrai que le support CD est en fin de vie, mais quand on voit le prix du dématérialisé, cela fait mal à l’amour propre… Surtout qu’on peut copier les pistes des CDs dans n’importe quel format, et à volonté… Sauf avec des CDs limite illisibles, comme jadis un certain X&Y des Coldplay 😉

Toujours à propose de galettes de plastiques, j’ai pu acquérir récemment la version deluxe de l’album XII des Barclay James Harvest, où on trouve une ballade magnifique, Berlin.

En 2002, lors d’un concert en Allemagne, ce qui reste du groupe emmené par Les Holroyd en a fait une version magnifique :

Que c’est bon d’être un vieux con par moment 😉

Non, faut vraiment que j’arrête :D

Faisant mes courses ce matin à l’hypermarché de Biganos, j’ai vu au rayon musique des albums en solde… Et pour 11 €, j’ai pu avoir deux albums, dont un que j’ai acheté par pure curiosité 😉

Le premier : c’est l’album des « inédits » de Jeff Buckley, artiste disparu en pleine gloire. Dans cet album, on a droit à ses grands titres, souvent dans des versions alternatives et néanmoins intéressantes 😉

J’ai bien aimé la version limite « hard-rock » de « Eternal Life ». J’ai aussi découvert des bijoux de cet artiste. La version alternative de « Dream Brother » vaut largement celle de l’album « Grace ».

La version acoustique de « So Real » vous fait passer des frissons. Et la version « Live at Sin-E » donne envie d’acheter l’album live en question.

Le morceau le plus inattendu, c’est de l’entendre chanter en français, dans le titre « Je n’en connais pas la fin ».

Le deuxième album, c’est le seul album live de la formation historique de Genesis, simplement intitulé « Live ».

Thierry, peintre et grand fan de musique devant l’éternel (il m’a fait découvrir les Pink Floyd, Deep Purple ou encore Barclay James Harvest) est un fan de Genesis.

Désirant découvrir la période « Peter Gabriel » du groupe, j’ai sauté sur l’occasion quand j’ai vu l’album à petit prix.

Bon, c’est du rock progressif. Soit on aime, soit on déteste. Mais ayant commencé avec BJH et le trio d’album progressif (« The Dark Side Of The Moon », « Wish You Were Here » et « Animals ») des Pink Floyd, j’ai tout de suite accroché à ce live. Même s’il est un peu difficile d’accès au début 😉

C’est un vrai festival pour les oreilles. Près de 47 minutes qui passent très rapidement… Du rock progressif pur sucre, surtout avec les sublimes « Get’em out by friday », « Musical Box » ou encore « The Knife ».

Autant dire que si vous êtes fachés avec le rock progressif, cet album ne changera rien 🙂

Non, faut vraiment que j’arrête d’acheter de la musique à aussi grande vitesse… Je vais me ruiner à ce rythme là 😀

Atom Heart Mother… Ah, la vache…

Etant dans une période de « découverte » du rock progressif, j’ai écouté récemment « Atom Heart Mother« .

Album studio qui finit la période psychédélique du groupe, avant qu’il ne produise son trio magique « The Dark Side Of The Moon« , « Wish You Were Here » et « Animals » commence par un morceau floydesque de 23 minutes, totalement instrumental, mais qui laisse l’auditeur être emporté et on a l’impression que seulement 5 minutes sont passées 😉

Les titres qui suivent sont des ballades plus ou moins « faciles », et j’avoue que la dernière piste m’a collé à mon siège. Seuls les Pink Floyd pouvaient rendre intéressant la prise d’un petit déjeuner.

Sans vouloir faire de mauvais jeux de mots, si je devais résumer « Atom Heart Mother », ce serait : Ah, la vache 😉

Le côté sombre de la lune…

Je parle bien sûr de l’album le plus célèbre des Pink Floyd, avec sa pochette d’une simplicité confondante…

En 1973, quand sort l’album, les Pink Floyd sont au sommet de leur gloire. Avec cette pochette énigmatique, on tient ici un bijou du rock progressif. Des ballades comme Breathe emporte l’auditeur dans un monde de douceur.

Il serait injuste d’oublier « The Great Gig In The Sky », ethéré et simplement sublime.

Mais le point d’orgue, c’est la chanson « jingle », « Money », surement le titre le plus connu des Pink Floyd. Avec ses pièces qu’on entend tomber à intervalles réguliers.

Un des albums à conseiller pour découvrir un groupe pas comme les autres.