Comme vous le savez je suis un passionné de vieille informatique, et je prends un plaisir monstrueux à rejouer à des titres qui ont bercé mes jeunes années vidéo-ludique, que ce soit avec des jeux pour Amstrad CPC, pour Commodore 64 – que j’ai découvert récemment via la scène ludique qui y est encore très vivante, près de 40 ans après la naissance de cet ordinateur – ou encore pour Amiga ou PC sous MS-DOS.
On parle souvent de RetroArch, l’équivalent pour ordinateur de RetroPie. J’ai même fait une courte vidéo pour montrer l’installation de RetroArch avec des coeurs d’émulation pour la plupart des consoles de jeu vidéo allant de la NES (1985) à la Playstation 2 (2000), ce qui en fait un sacré paquet 🙂
Que ce soit avec sa version native pour Archlinux ou sa version flatpak – qui permet de télécharger des dizaines de coeurs d’émulation en quelques clics, même si on retrouve des coeurs obsolètes comme celui de Frodo pour le Commodore 64, logiciel abandonné depuis 10 ans si on en croit le dépot du code source, l’émulation pour ordinateur, ce n’est vraiment pas le meilleur choix.
J’ai enregistré une petite vidéo complémentaire à la première pour montrer qu’en dehors des manettes de jeux, utiliser Retroarch pour les ordinateurs, ce n’est pas l’option à choisir.
Qu’on ne se méprenne pas. RetroArch est l’outil à utiliser si on veut émuler plusieurs consoles sans avoir à jongler avec plusieurs émulateurs différents. Mais si c’est pour émuler des ordinateurs où on peut avoir besoin du clavier, mieux vaut passer son chemin.
Rien ne vaudra un Vice pour les machines Commodore 8 bits, un Caprice32 ou un RetroVirtualMachine pour les CPC d’Amstrad, un FS-UAE pour l’Amiga, etc…