Ah, les bootlegs. Appelé enregistrement pirate par les éditeurs dans le sens où les dits enregistrements n’apportent pas un centime dans la poche des artistes producteurs, ce sont souvent des produits bruts.
C’est aussi la preuve d’un syndrôme dont je suis victime, la collectionnite 🙂
On entend parfois des applaudissements, des voix, des commentaires, mais surtout des versions parfois originales de certains titres qu’on connait déjà sur les enregistrements officialisés des groupes et artistes.
Cela permet parfois de découvrir des titres inédits, jamais sorti en album ou en compilation. C’est donc une version non expurgée de l’héritage de l’artiste ou du groupe. Même s’il y a à boire et à manger, on peut tomber sur une qualité qui pourrait tenir la dragée haute aux enregistrements officiels, ou de quoi se demander : « c’est quoi cette diarrhée musicale ? »
Il y a un groupe que j’ai découvert grace à une ancienne collègue de travail, c’est le duo Dead Can Dance. Je l’ai découvert en 2008-2009. J’ai tellement accroché que quand une tournée mondiale avait été annoncée pour 2013, j’ai supporté 12 heures de trajets en train (aller et retour) pour aller voir le groupe dans les arènes de Nîmes.