Si collectionneur un jour tu es, collectionneur toujours tu seras.

Avec ce titre digne de Yoda, je voudrais vous confesser ma terrible honte : je suis un collectionneur compulsif. Surtout dans le domaine de la musique.

Il y a près de 18 mois, je parlais du premier LP de Big Black Delta, le projet solo du bassiste Jonathan Bates.

Récemment, j’ai eu un courrier dans ma boite aux lettres sur l’arrivée officielle du premier LP de Big Black Delta. Intrigué je suis allé voir, et je me suis aperçu qu’une nouvelle version allongée de 5 titres était disponible. Et comme l’ensemble était à pris intéressant (8,99 £), j’ai craqué et j’ai pris la version longue de l’album.

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Big Black Delta : le premier LP est disponible.

J’ai des (dé)goûts très variés en musique : des chanteuses Jazz comme Billie Holiday, à Nine Inch Nails, en passant par Dead Can Dance, Pink Floyd, les Beatles, les Doors, SonoIo, ou encore Deep Purple.

En parlant de SonoIo, je tiens à dire que j’ai pu découvrir grâce à ses conseils éclairés Big Black Delta, qui n’est autre que le projet solo de Jonathan Bates, bassiste de Mellowdrone.

Recevant hier un courrier électronique dans ma boite, j’ai eu la bonne surprise de lire que le premier LP était enfin disponible sur le site officiel de Big Black Delta.

Comme il était librement téléchargeable, j’ai sauté sur l’occasion, et j’ai eu une claque. De l’électro-rock de très bonne qualité.

Comme j’aime bien les travaux d’Alessandro Cortini (alias SonoIo), j’ai de suite accroché à Big Black Delta.

L’album commence par le très rock « Put the Gun On The Floor ». Le deuxième titre, « Capsize » se la joue très début des années 1980, titre lent qui calme le jeu.

« Huggin and Kissin » joue essentiellement sur les percussions, tout en évitant de tomber dans le « tac-tac poum-poum » de la techno. Cela me fait un peu penser à Orchestral Manoeuvres in the Dark.

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Des (dé)goûts variés en musique.

J’ai souvent fustigé la bonne grosse mouise au parfum prononcé commerciale que nous vendent à prix d’or les majors : Stefani Joanne Angelina Germanotta, Justin Bieber, Jean-Philippe Smet pour ne citer que les trois premiers qui me viennent à l’esprit.

Cependant, vu mes (dé)goûts musicaux variés (qui vont des Pink Floyd à Nine Inch Nails, de Miles Davis à Michel Sardou, de Vangelis à Mike Oldfield, des Beatles aux Black Sabbath), je peux me permettre d’aimer certains artistes que des personnes qui se disent avoir de bons goûts musicaux déclare être de l’excrément de bique.

Parmi les artistes dont j’ai parfois honte d’apprécier, il y a un certain Jean-Michel Jarre, compositeur ayant aidé à la démocratisation de la musique électronique en France. C’est pour moi, avec Vangelis, Roger Subirana et Zero Project, un des grands noms de la musique électronique européenne.

Un de mes albums préférés de Jean-Michel Jarre (dont j’apprécie énormément la période 1976 – 1990), c’est l’étrange « Zoolook ». C’est surement l’album le plus difficile à aborder de ce compositeur, mais c’est aussi le premier album où il utilise des instruments classique et des voix comme musique.

Le morceau de choix de l’album est « Ethnicolor », dont la version jouée à Lyon en 1986 est « la meilleure » jamais proposée.

Maintenant, comme disait feu mon grand-père : tous les goûts sont dans la nature, la merde est bonne pour tous !