« Carrots and candle » : quand Ysma joue acoustique… Et gagne ;)

Il y a des groupes et artistes que l’on découvre vraiment avec leur performance Unplugged. L’un des noms le plus célèbre qui viennent à l’esprit, c’est Nirvana et son concert sur MTV Unplugged.

D’autres groupes et artistes l’ont fait. Dans le domaine des artistes que j’ai pu découvrir cette année, le groupe de rock progressif allemand Ysma s’y est frotté. J’ai parlé de leur premier album en août, quelques mois après sa sortie en avril 2013. Les deux albums sont publié en CC-BY-NC-ND.

Dans un album intitulé « Carrots and Candle », le groupe s’essaye donc au difficile exercice du concert acoustique.

C’est un concert qui reprend 7 des 12 titres de l’album studio. Enregistré dans la salle du Peperoni à Münster en public le 26 octobre 2013, il permet de redécouvrir les pistes proposées dans « Vagrant ». Le concert dure une quarantaine de minutes.

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« Vagrant » du groupe « Ysma » : quand le rock progressif allemand s’exprime, ça fait du bien aux oreilles !

En fouillant sur Bandcamp, je suis tombé sur l’album « Vagrant » du groupe allemand Ysma. C’est un quartet de Münster, formé en 2009, qui mélange avec bonheur de nombreuses influences. L’album est proposé sous licence Creative Commons CC-BY-NC-ND.

Mis à part la 11ième piste qui dure plus de 9 minutes 30, les morceaux sont assez court pour du progressif, dépassant à peine les 6 minutes. J’ai rédigé l’article en l’écoutant, ce qui explique le coté un peu « brut » de l’article 😉

C’est un groupe qui propose un rock progressif teinté de sonorités métal, mais aussi d’autres influences. Après une courte intro, le morceau « The Wanderer » arrive et nous propose une piste qui ne renie quelques influences jazzy.

La troisième piste « Remember Jenny Samkis » est plus rock, bien que l’influence métal avec une rythmique assez rapide se faire sentir.

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« Dead Frequencies  » de Marker Beacon : quand le heavy metal français se libère.

Parmi les styles musicaux que j’apprécie, le metal en fait partie, avec la folk, le rock progressif ou pas, ou encore la musique classique. J’ai des goûts musicaux assez variés comme j’ai pu le démontrer au fil des billets sur mon blog.

Genre né au début des années 1970, le metal a eu des variantes qui se sont démultipliés, au point qu’il faut parfois utiliser des métaphores pour comprendre les différents styles. Et encore, on est très loin d’être exhaustif.

J’ai été contacté par Olivier, membre du groupe Marker Beacon pour me parler de leur premier album officiel.

J’avoue que je ne connaissais pas la tendance « mélodique » du métal, et on est loin des titres glauques et lourds que pourrait laisser croire la pochette 🙂

Pochette du premier album des Marker Beacon

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Griseus d’Aquilus : du métal symphonique de haut vol ?

Je m’intéresse depuis quelques temps au métal symphonique, comme le prouve les billets sur Eidon et Seven Nails.

Fouillant Bandcamp, je suis tombé sur le premier album d’Aquilus, un groupe australien. C’est un groupe qui mélange le métal symphonique, avec des influences folk, du progressif et des influences néo-classique.

Un mélange détonnant. Mais un mélange qui vous emporte facilement. Dès la première piste, Nihil (qui dure 14 minutes !), on est saisi par le mélange des genres qui ne laisse pas indifférent. Soit on adore, soit on déteste.

Et les 14 minutes de la première piste sont bien remplis. On passe de rythme typiquement métal et lourd à des envolées lyriques.

Et si vous pensez que 14 minutes, c’est long, alors, trompez-vous ! L’ultime piste dure 17 minutes 30 ! La piste la plus courte, seulement 5 minutes 35. Mais on ne peut pas parler d’un album en se basant sur la longueur de ses pistes. Chacune d’entre elles développe son univers qui lui est propre.

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Mardi Musical, partie 2 : « Crystalight » d’Eidon.

Après la douceur de Dave Gerard and The Watchmen, passons à quelque chose de plus énergique. Je veux parler du groupe de métal symphonique tourangeau, Eidon.

J’avais entendu jadis parler du groupe sur un article du mon flux sur google+, et j’avais mis de coté le site du groupe pour l’écouter à oreille reposée.

Et puis, il y a une quinzaine de jours, fouillant dans mes signets, j’ai retrouvé le lien, et j’ai écouté la piste disponible sur le site officiel du groupe, « Panic ». Ce fut la claque.

Après, j’ai écouté l’ensemble de l’album sur Deezer (pour une fois que ce site est utile !) pour savoir si le coup de coeur préliminaire se confirmait, et je dois dire, qu’après avoir écouté la moitié des 14 pistes, je sortais ma carte bleue pour acheter l’album que j’ai reçu depuis.

L’album commence doucement, avec une piste acoustique tout en sucre. La deuxième piste met tout de suite l’auditeur sur la voie, et c’est un métal classique, mâtinée de consonnances classique qui accueuille l’auditeur.

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