Après la douceur de Dave Gerard and The Watchmen, passons à quelque chose de plus énergique. Je veux parler du groupe de métal symphonique tourangeau, Eidon.
J’avais entendu jadis parler du groupe sur un article du mon flux sur google+, et j’avais mis de coté le site du groupe pour l’écouter à oreille reposée.
Et puis, il y a une quinzaine de jours, fouillant dans mes signets, j’ai retrouvé le lien, et j’ai écouté la piste disponible sur le site officiel du groupe, « Panic ». Ce fut la claque.
Après, j’ai écouté l’ensemble de l’album sur Deezer (pour une fois que ce site est utile !) pour savoir si le coup de coeur préliminaire se confirmait, et je dois dire, qu’après avoir écouté la moitié des 14 pistes, je sortais ma carte bleue pour acheter l’album que j’ai reçu depuis.
L’album commence doucement, avec une piste acoustique tout en sucre. La deuxième piste met tout de suite l’auditeur sur la voie, et c’est un métal classique, mâtinée de consonnances classique qui accueuille l’auditeur.
J’avoue que ce qui a emporté ma décision d’acheter l’album, c’est le chant tout en puissance et en douceur de la chanteuse du groupe. Que ce soit sur les pistes « Thunderforce », « Fantasia » ou encore « Exodus », on est emporté par sa voix.
Et l’album se finit tout en douceur avec un morceau de piano. Comme pour laisser l’auditeur sur une note de douceur. Ce piano qui est présent sur quelques pistes, comme « Night’s Outline », « Crystal Sphere ».
L’ensemble de puissance et de douceur fait que cet album a tourné plusieurs fois sur ma chaîne hifi, et qu’il y retournera bientôt.
Même si vous n’êtes pas fan de métal symphonique, laissez-vous tenter, vous pourriez être agréablement surpris !