Un aperçu de la nouvelle version de l’installateur d’Archlinux.

Archlinux est une distribution qu’on réinstalle rarement… Sauf en cas de coup dur (changement de disque ou d’ordinateur), une fois installé, Archlinux n’a pas besoin d’être réinstallé.

Jetant un oeil sur la liste de publication concernant le développement des images d’installation d’ArchLinux, j’ai pu lire ce message, concernant la version alpha1 de l’image 2009.08.

ArchLinux Installer 2009.08 alpha1

Cette version utilise un noyau 2.6.30, l’outil « ArchLinux Installation Framework » à la place de l’ancien outil.

L’installation est toujours aussi simple, même si on peut rencontrer quelques bugs, comme l’obligation d’insérer à la main la « timezone » dans le fichier /etc/rc.conf. Surement lié au bug 13196

Les captures d’écran de l’album montre les différentes étapes de l’installation en mode réseau, en utilisant l’image 64 bits. Et tout roule 😉

Une partie appréciable est qu’on peut personnaliser le fichier /etc/pacman.conf, histoire de pouvoir rajouter les dépots dès le départ…

Comme le dépot d’Archlinux.fr pour avoir accès à yaourt facilement.

Ce qui est le principal, non ? 🙂

La nostalgie ludique du dimanche 12 juillet : Quake 2 et ses deux extensions officielles.

Je vais essayer – chaque dimanche de cet été – de parler de vieux jeux – aussi bien sur PC que sur d’autres plateformes – qui ont marqué ma mémoire de geek.

Pour commencer sur les chapeaux de roues, parlons de Quake 2 et de ses deux extensions officielles, « The Reckoning » et « Ground Zero« . Sorti en 1997 – 1998.

Pour tout dire, j’ai eu envie de faire cet article suite à l’empaquetage pour Archlinux du code source corrigé par Yamagi de Quake 2, de « The Reckoning » et de « Ground Zero » que j’ai effectué. Si vous utilisez ArchLinux, il vous suffira d’utiliser yaourt pour récupérer les paquets en question.

Mais trève de digression, revenons au sujet principal.

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VLC 1.0.0 est enfin sorti.

Après 4 versions de validation, VLC 1.0.0 est enfin sorti. La version 1.0.0 est disponible pour Archlinux, il faudra juste patienter le temps que le logiciel soit compilé et propagé sur les divers mirroirs. Ou lancer la compilation à la main, comme je l’ai fait pour la capture d’écran ci-dessous.

vlc 1.0.0 sur Archlinux 64 bits.

Pour les utilisateurs d’autres distributions, faut voir avec les dépots disponibles. Par exemple ce PPA pour les utilisateurs d’Ubuntu : https://launchpad.net/~c-korn/+archive/vlc

Une excellente nouvelle pour ce logiciel qui montre qu’on peut faire un lecteur de vidéo et d’audio sans avoir besoin de rajouter un paquets invraisemblables de codecs plus ou moins variés.

<a href= »http://www.flickr.com/photos/fredbezies/3697152531/ » title= »vlc 1.0.0 sur Archlinux 64 bits. de fredbezies, sur Flickr »><img src= »http://farm4.static.flickr.com/3470/3697152531_882fa97881.jpg » width= »500″ height= »313″ alt= »vlc 1.0.0 sur Archlinux 64 bits. » /></a>

Une idée reçue : les logiciels en mono sont plus lourd que leur équivalent en C/C++.

Dans mon billet précédent, je disais que les logiciels en mono était parfois jusqu’à trois fois plus lourd… Je faisais erreur. Je m’explique.

En effet, j’avais pu voir dans une machine virtuelle contenant une Ubuntu Jaunty que Tomboy prenait 24 ou 25 MiO au démarrage… J’ai donc voulu voir ce que donnait des versions récentes de Mono, en utilisant comme outil Tomboy et Banshee, tout en comparant avec leur équivalent en C/C++ que sont gNote et Rhythmbox.

Cet article n’est pas à visée scientifique – et il n’en a pas la prétention – mais j’ai envie de tordre le cou à une idée reçue. Il aurait fallu tester deux ou trois autres logiciels, mais je me suis limité aux logiciels existant aussi bien en mono qu’en langage C/C++.

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Deux mois déjà…

…que je suis revenu sous Archlinux. Encore un petit mois, et j’aurais dépassé mon précédent record d’utilisation d’Archlinux (fin décembre 2007 à fin mars 2008).

Entre temps, j’ai gagné en connaissance technique, et je ne suis plus trop effrayé pour recompiler certains composants, comme gnome-keyring 2.26.3 qui est – au moment où j’écris ce billet – indisponible et qui bloque l’installation de Gnome 2.26.3.

Gnome 2.26.3 sous Archlinux

Il est vrai que l’idée d’ArchLinux et de garder des logiciels aussi peu « rustinés » que possible est bien agréable. De plus, maintenant, j’apporte un peu ma pierre à l’édifice, ayant repris la maintenance d’un paquet sur AUR qui permet d’avoir une version de développement de Liferea.

Bref, je ne pense pas que l’arrivée de la version Karmic Koala d’Ubuntu me fera changer d’avis, surtout vu le virage pris avec l’intégration d’outils en Mono – technologie que je trouve très gourmande et surtout trop liée à Microsoft – pour la future version.

J’ai d’ailleurs remplacé l’outil Tomboy par Gnote (et la consommation mémoire a été divisée par trois environ, un article suivra concernant ce point précis).

Bref, j’attaque sereinement le troisième mois d’utilisation. Ce que je crains le plus ? La migration de Gnome 2.26.3 vers Gnome 2.28.0.