Que les anglophobes me pardonnent ce titre en anglais, inspiré d’un titre de l’album « Bridge Over Troubled Water » du duo Simon & Garfunkel.
Le 14 février dernier, j’installais la Frugalware Linux. Même si les débuts ont été un peu chaotique, j’ai appris à apprécier cet autre grand nom des distributions rolling release. Les 80 jours que j’ai passé sur Frugalware Linux m’ont énormément appris et m’ont permis de connaitre une communauté où le sens solidarité n’est pas uniquement du marketing.
Je tiens à remercier Devil505, Bouletbil, Kooda et tous les autres membres sur le canal irc #frugalware.fr pour les bons moments passés.
Ce matin, un énième gel de ma distribution lors de la compilation de mon exemplaire quotidien de mon Mozilla Firefox de développement – ce qui signifiait effacer le répertoire contenant le code compilé – a été la goutte d’eau qui a fait déborder le vase. Je n’avoue que je n’ai jamais su la cause de ses gels, même si la gestion de la vitesse du CPU pourrait être un bon suspect.
En l’espace d’une heure et quart, j’ai pu installer une Archlinux testing avec l’équipement logiciel équivalent à celui que j’avais précédemment sous ma Frugalware Linux.
Et même un peu « mieux » sur certains plans, dont un certain Xorg-server 1.8.0.902 🙂
Il y a bien sûr d’autres raisons :
- La syntaxe des FrugalBuild qui m’a toujours semblé ésotérique
- Le manque d’un AUR, même si parfois il y a à boire et à manger
- La lenteur de mise en place de certaines technologies
Cependant, si vous cherchez une distribution en rolling release et que tout devoir vous configurer à la mimine vous effraye, essayez Frugalware. Vous y trouverez votre bonheur.
Et d’ailleurs, je pense que je parlerais encore de Frugalware dans des billets à venir. Car 80 jours avec une distribution, cela ne s’oublie pas !