Guide d’installation d’Archlinux, version de février 2018.

Voici la cinquante-deuxième version du tutoriel pour installer une Archlinux, que ce soit avec une machine virtuelle, utilisant un Bios ou un circuit UEFI. Cette version rend obsolète celle de janvier 2018.

Pour les captures d’écran, je suis parti d’une image ISO intermédiaire créée avec l’outil Archiso. Au moment où j’envoie l’article en ligne, le 1er février vers 8 h 30 du matin, l’ISO de février 2018 n’est pas encore disponible.

Si vous avez besoin d’une image ISO en 32 bits, le projet archlinux32 vous en proposera une.

Merci à Angristan pour sa suggestion au niveau de l’installation des polices d’affichage et à Simon B pour sa remarque sur le double-démarrage de distributions GNU/Linux. Midori a été enlevé, son développement semblant être au point mort 🙁

Côté environnements : Gnome 3.26.2, Plasma 5.11.x, Xfce 4.12.0 et Mate-Desktop 1.18.0 en gtk3. J’ai surtout faire du nettoyage dans les paquets à installer, virant Midori entre autres.

NB : si vous voulez faire une installation avec l’UEFI, il faut utiliser cgdisk, gfdisk ou gparted, et créer un partitionnement GPT. Sinon, ça plantera !

Ce n’est pas un tutoriel à suivre au pied de la lettre, mais une base pour se dégrossir. Le fichier au format zip contient :

  • La version odt
  • La version pdf
  • La version ePub
  • La version mobi (pour Kindle)

Le guide en question est sous licence CC-BY-SA 4.0 à compter du mois de mai 2016.

Bonne lecture et n’hésitez pas à me faire des retours en cas de coquilles !

5 réflexions sur « Guide d’installation d’Archlinux, version de février 2018. »

  1. Bonjour,

    « J’ai surtout faire du nettoyage » –> voulu ? du ? eu envie de ? cru bon ? 🙂

    Dans le guide, version odt, page 20, il y a une redite :
    « Comme je présente Gnome dans la section principale, c’est GDM. Sinon, il faut se référer à l’addenda correspondant.

    Sinon, il suffit de se référer à l’addenda correspondant à l’environnement de votre choix. »

    Concernant le multi-boot avec d’autres distributions linux, il est plus simple, pour éviter les problèmes, de ne pas créer de partition séparée pour /boot, et de le laisser à la racine. Parce que, dépendant de l’ordre d’installation des différentes distributions, on peut se retrouver devant un vrai casse tête, et devoir passer par chroot pour corriger. Depuis que je pratique ainsi, plus de problèmes.

    Bonne journée.

    1. Je corrigerai la lourdeur à la prochaine révision. Et oui, j’ai oublié un mot dans ma phrase. Sûrement un manque de caféine dans le sang.

      Sinon, pourquoi autant de haine envers la partition /boot séparée ?

      1. Bonsoir.
        Aucune haine, juste le souvenir de mauvaises expériences, par ailleurs peut être issues de ce qui se place entre la chaise et le clavier.
        J’aime bien installer « pour essayer » d’autres distributions. Comme j’ai de la place sur mes disques, je préfère le faire « en dur » plutôt que dans une machine virtuelle (j’ai de la place, mais une vieille machine peu puissante, et la machine virtuelle s’en retrouve pénalisée, donc je teste en conditions réelles, à mes risques et périls).
        Il m’est arrivé souvent de me retrouver Gros-jean comme devant au premier redémarrage après l’install. Des problèmes liés à la partition /boot séparée.
        Ça commence à faire un bail, et comme je n’ai plus ces problèmes depuis que je place /boot à la racine, ma mémoire du pourquoi et du comment s’est effilochée (Alzheimer ?).
        Je vais donc essayer de reproduire la situation, mais cette fois en machine virtuelle, soyons prudent. Comme la première étape est d’installer Arch, en suivant ton guide, ça va prendre un peu de temps…
        Je reviendrai vers toi (comme dit (facture) mon avocat dès que j’aurai mieux cerné l’affaire).

  2.  
    Bonjour,
     

     
    Donc, ça m’a pris un peu de temps, mais je pense avoir reproduit le problème que je rencontrais à l’époque. C’était bel et bien une connerie de ma part, en ce temps-là, j’avais pas encore tout compris !
     
    À l’installation de la deuxième distribution, je désignais comme partition de boot la partition existante, que j’avais créée pour Arch, de la même manière que je réutilisais la partition de swap. Évidement, ça fonctionne pour swap, mais pas pour boot.
     
    Par conséquent, je retire humblement mon conseil idiot de ne pas créer de partition séparée pour boot, même si, bien sûr, ça fonctionne quand même.
     

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