Ah, le mois de septembre… Son odeur de crayons à papier finement aiguisés, de craie sur les tableaux noirs et d’examens qui se tiendront neuf mois plus tard qu’on ne préparera vraiment qu’à compter du mois de mars… 😀
Allez, il faut remettre la machine en route, et voir ce que nous proposait le mois de septembre 2015 dans le doucéreux et tendre monde du logiciel libre.
Je commençais le mois de septembre en m’interrogeant sur le grand n’importe quoi des installateurs conviviaux pour Archlinux. La situation est à peine plus claire un an plus tard. Côté distributions GNU/Linux ? Je demande la HandyLinux 2.2 ou encore la bizarroïde LuninuxOS, la NuTyX Houaphan, la BunsenLabs (qui veut succéder à la Crunchbang).
Sans oublier des projets plus alternatifs comme GhostBSD 10.1.
J’allais presque oublier un billet sur la Manjaro Linux qui montrait déjà des attraits indéniables pour les utilisateurs effrayés par la ligne de commande.
Un mois de reprise classique durant lequel mon blog fêta ses 10 ans…
Pour terminer, un petit rappel des principaux logiciels libres au début de septembre 2015, en me basant sur le tutoriel d’installation d’Archlinux du même mois.
- Le noyau Linux 4.1.6
- Gnome 3.16.2
- Plasma 5.4.0
- Xfce 4.12.0
- Mate Desktop 1.10.2
- LibreOffice 5.0.1
Allez, rendez-vous début octobre prochain pour le septième épisode de cette série de voyage dans le passé récent.
On a tous des paradoxes…D’un coté, on a des installeurs graphiques qui vont soit trop à l’essentiel, soit pas assez, et de l’autre la bonne vieille installation à la ligne de commande, qui ne conviendra pas au débutant (ou alors motivé). D’un coté on a l’interface graphique de son choix, et de l’autre on a des oublis étonnants sur certaines. Jamais content :p
Et donc, après on a le fork du mec pas content qui veut son truc à lui
je pense que que justement sur la notion de « fork »
faut il encore le faire de manière intelligente ,
et non à »tout va » , avec un grand risque d’abandon après 1 an à 1 an et demi
cette notion existe moins côté BSD , et j’ai l’impression qu’une bonne partie des BSD perdurent par rapport aux différentes distributions linux
tant qu’il y a un risque d’abandon , ou bien refus sur applications de patch/mises à jour le risque de fork est quasi justifié , dans le cas de problèmes entres développeurs c’est ici un des problèmes clés
de toujours vouloir faire un fork
pour le cas des distributions , faut il encore que ces dernières apporte un REEL plus par rapport aux distributions majoritaires , ce qui est de moins en moins le cas , il y a sans doute ici un point a revoir ( pb du nombre de développeurs & de temps mais aussi de suivi des mises à jours pour avoir une version au point)