Pour cet article, je tiens à remercier Didier alias Iceman qui m’en a donné l’idée dans un article consacré à Crazy Cars 2.
Je vais parler dans cet article du casse brique qui donne la nausée à cause de sa vitesse et de sa maniabilité, j’ai nommé « Titan ». Sorti par Titus en 1988 sur CPC et en 1989 sur Amiga, ST, C64 et MS-Dos, il ne se joue pas en mono-écran avec une raquette horizontale.
Malheureusement, non. Il propose une liberté presque totale au niveau des déplacements et une prise de tête qui vous rendra complètement marteau.
Il était doté de 16 à 80 niveaux (selon que vous ayez la version cassette ou la version disquette). Vous pouvez aisément comprendre pourquoi il a été un jeu qui a marqué son époque. Dans tous les sens du terme 🙂
Mais le plus simple est une vidéo du jeu en action, en version CPC. J’ai eu de la chance, mon estomac a tenu le choc 🙂
Sans oublier un clin d’oeil à la version Atari en 1989. Les graphismes et les sons sont plus développés, mais la prise de tête… Bref…
Et dire que le jeu est sorti en 1988 et 1989… Même si les graphismes sont pourris – pour nos standards actuels – c’est toujours un plaisir un peu malsain que de pouvoir lancer le casse brique pour (re)découvrir une époque où les codeurs savaient optimiser le code de leurs jeux !
Je l’avais eu brièvement en main….Avec un sac. Il faudra que je fasse un spécial casse brique. Y avait eu un truc proche sur gba ou DS je crois.
« c’est toujours un plaisir un peu malsain que de pouvoir lancer le casse brique pour (re)découvrir une époque où les codeurs savaient optimiser le code de leurs jeux ! »
Et c’est justement ce qui rend cette époque fascinante : Les limitations tech’ comme le stockage riquiqui (On comptait en Mo) ou la puissance (« T’as qu’une 8 bits ? Moi 16 !!! ») étaient telles qu’optimiser le code était une nécessité.
Cela n’a nullement empêché les sorties de véritables chef d’œuvres , d’autant que souvent il n’y avait qu’une personne derrière un jeu. Et le tout en un laps de temps plus que serré.
Ce serait plus un luxe aujourd’hui, luxe que souvent l’on ne se permet qu’une fois le code sur les étals :-/