Il y a plus de deux ans, je parlais du précédent album de Romeo Bovin, « oblikva ».
J’ai été contacté par lui pour me parler de son dernier opus, « underboro ». C’est un album de longueur moyenne, avec 8 pistes pour un peu moins de 36 minutes. On est sur des pistes assez courtes.
Dès la première piste éponyme, on retrouve le style qui a fait le succès du premier album. Une espèce de dialogue entre les percussions et les synthétiseurs, avec ce fond éthéré qui entraîne l’auditeur. On peut y rajouter la quatrième piste « black hole » ou encore la piste « hover » ou « swirl ». Autant dire que c’est le style majeur de l’album.
La deuxième piste est un peu plus post-rock dans sa composition. On peut y ajouter la piste « rush » qui redonne un coup de fouet à l’album après plusieurs pistes assez calme.
Avec la troisième piste, on a une composition digne d’un orchestre de musique classique.
On conclue avec « elsewhere » qui reprend la lignée de la première piste.
Au final, c’est un album que j’ai bien aimé, car il est reposant d’écoute. Ce qui fait du bien par moment.
Il y a quelques airs de Jean-Michel Jarre de la belle époque dans certains titres. Un bel appel au voyage. C’est assez méditatif.
J’ai bien aimé la piste 6. Swirl