Je ne parle que peu souvent de mes écrits non techniques. Je suis un humble gratteur de papier qui essayent de (se) faire plaisir en racontant des histoires. Je suis loin d’avoir le talent de, en commençant par les représentantes du beau sexe :
- Alice Quinn
- Kylie Ravera
- Solenne Hernandez
- Sophie Renaudin
- Isabelle Rozenn-Mari
- Marilyse Trécourt
- Cara Vitto
- Arnaud Codeville
- Jérome Dumont
- Mickaël Paitel
- Olivier Saraja
- Wendall Utroi
Et encore j’ai dû oublier des noms dans cette liste qui donne à l’auto-édition des lettres de noblesse méritées. Je tiens à m’excuser pour les oublis ! Mea culpa ! Ne vous inquiétez pas, j’ai prévu le cilice et le fouet pour me punir de ma mémoire défaillante 😀
Je travaille depuis le début de l’année 2016 sur un projet qui s’appelle « Allez sans rancunes » qui d’un petit projet qui a pris du poids. J’ai déjà publié sur Atramenta les trois premières parties, qui couvre des chroniques cyniques et je l’espère humoristique pour les périodes de Janvier à Mars, Avril à Juin et Juillet à septembre.
Début 2017, je publierai une version regroupée sur Amazon (et Kobo ?) en complément des 4 parties sur mon espace Atramenta. Je pense que je mettrai le tout à 0,99€ au pire. De quoi financer en 4 à 5 millénaires un appartement dans le XVIe à Paris, non ? 🙂
Bref. Mais je me suis dit qu’il serait intéressant que je vous partage sur le blog une des dernières entrées, rédigées à la va-vite en fin de nuit, car mon cerveau faisait des siennes 🙂
Si vous préférez la version en ligne, vous l’aurez aussi à l’adresse suivante : http://www.atramenta.net/lire/allez-sans-rancune–partie-4/61799/10#oeuvre_page
J’aime pas… l’auto-édition.
Je vous vois arriver à triple galop. Quoi ? Il n’aime pas l’auto-édition alors qu’il l’utilise pour publier ses chroniques ? Pourquoi crache-t-il ainsi dans la soupe ? Serait-il un hypocrite, un faux-cul, un Onuphre comme le dépeignait La Bruyère dans ses Caractères ?
Nullement. Je suis juste réaliste. L’auto-édition est le rêve pour nombre de personnes grattant le papier avec plus ou moins de talent et de réussite. D’ailleurs, on y trouve « le meilleur comme le pire. Mais c’est dans le pire qu’elle est la meilleure. » La première personne qui arrivera à trouver l’origine de cette citation y gagnera toute mon estime. C’est mieux que rien, non ?
Pour moi l’auto-édition, c’est comme un étalage où cohabiterait du pâté de campagne premier prix périmé et faisandé avec du foie gras luxueux truffé. Les deux étant vendus au même prix et sous le même emballage. Autant dire que lire de l’auto-édition, c’est un peu comme jouer à la roulette russe en ignorant si le barillet contient une ou six balles.
Je pourrais m’étendre durant des heures sur les dérives de cette noble idée, permettre à tout le monde de pouvoir s’exprimer par l’écrit. Je pourrais aussi m’étaler durant des heures sur les commentaires qui doivent être sans autre forme de procès notés le maximum possible sous peine de subir les foudres des ami(e)s de l’auteur(e) qui font tout pour défendre la production attaquée.
À croire que l’on est en face d’une École des Fans à la taille de la planète, et que les seules notes acceptables sont neuf et dix, même pour la pire des prestations. Je veux bien que la chanteuse Vanessa Paradis y ait fait sa première télévision. Mais combien de personnes auraient mieux fait pour le bonheur des oreilles de l’audience de rester à chanter sous la douche ?
Il y aura toujours des pépites et de la production écrite dont l’orthographe et la grammaire feront penser à une classe de CM2 abusant de substances illicites. Mais tel un chasseur d’or de la ruée de 1848 en Californie, il se peut qu’on soit chanceux dans nos fouilles dans les productions de l’auto-édition. Il suffit de persévérer.
Allez, sans rancune pour cette fois, hein ?
Oui, je sais, je suis très loin d’avoir une superbe plume. Mais je tenais à vous faire partager cette chronique.
Pourquoi ?
Tout simplement, elle tient au fait que certaines personnes que j’ai qualifié d’ami(e)s des auteur(e)s se prennent pour une garde prétorienne et sont capables de tout. Comme de se défouler suite à une critique argumentée, comme j’ai pu en faire les frais sur mon roman gratuit « Un mois d’octobre sans fin ».
Je vous laisse apprécier les captures d’écran ci-après… Et avec l’article du blog correspondant.
Avec de tels ami(e)s, Rose M dont j’ai critiqué la plume n’a pas besoin d’ennemis !
Allez, sans rancune pour cette fois, hein ? 🙂
Ajout à 21h00 : La réponse de la blogueuse a été de me bloquer et de me traiter de tous les noms… Alors qu’elle m’avait légèrement attaqué en traitre…
L’auto-édition rend complètement fou, en voici donc la preuve 🙂
Je ne veux pas me faire l’avocat du diable, mais diffuser une œuvre oblige forcement à une ouverture d’esprit critique. Je sens dans votre réponse au commentaire de cette personne comme un rejet totale de la critique. Il me semble que personne n’est parfait et vos écrits quelqu’ils soient ne pourront pas plaire à tout le monde.
Il faudrait certainement, faire un petit mea culpa en prenant un peu de recul sur la situation, le monde n’est pas rempli de personne vengeresse…
Pour info je ne lit pas et ne suis pas auteur, je consulte votre blog pour tout ce qui a trait aux distributions linux, mais pour le coup pour avoir bien tout lu, je ne comprends pas votre réponse à ce commentaire.
Et à proposer un travail qui soit au minimum du français écrit correct, aussi bien sur le niveau grammatical, qu’orthographique et syntaxique. Sans accuser le correcteur d’avoir salopé le boulot, comme dans des entreprises, c’est la faute du stagiaire si on a fait du travail de merde. Bref, ne pas chercher de boucs émissaires.
Nullement. Mais quand on critique sans argumenter…
En effet, je n’ai jamais prétendu être parfait. Mais le commentaire en question est purement et simplement une forme de vendetta.
Jamais dit cela. Quant au mea culpa, ce n’est pas à moi de le faire. C’est à un groupe de pression qui ne représente qu’eux-mêmes, qui se sont auto-proclamés défenseur d’une cause et qui ne pratique que le passage de cirage avec leurs chouchou(te)s par semi-remorque de 38 tonnes.
Oh, mais si vous saviez le courage des personnes en question qui se caractérisent par le « courage, fuyons » ? Qui attaque, insulte, critique le français écrit des autres personnes en faisant des erreurs aussi grosse que l’Everest, comme l’utilisation des majuscules pour les noms communs qui fait penser qu’elles doivent avoir des réméniscences de cours de langue allemande…
Ce sont des personnes hypocrites. Des onuphres comme je l’ai précisé dans mon texte en référence à La Bruyère.
Je n’ai aucun problème pour me voir dans un miroir, bien que me considérant d’une laideur repoussante. J’espère qu’elles peuvent faire de même.
Oui, mais Systemd c’est quand même vachement plus mieux que SysVinit qu’est vachement plus vieux …
Ah, m…, je me suis trompé d’article 😀
Bien essayé 🙂
Bon, note, t’as qu’à inverser deux lettres pour mettre le troll dans l’autre sens hein 😉
En effet, en effet 🙂
On peut quand même noter que y a un petit paquets de fautes d’orthographe dans ton roman :° Dont je n’ai pas eu le courage d’aller critiquer sur Atramenta d’ailleurs.
Sinon, son dernier argument dans sa réponse est magnifique…
Juste pour le dire en passant : Ton roman est particulier. On ne sait pas trop où tu nous mènes avant la toute fin, qui je trouve tombe très bien. Ça se lit, parce qu’un style relativement fluide et parce que l’uchronie est plutôt intéressante. Faut le dire par contre, heureusement que tes chapitres sont assez courts, sinon on risquerait pas mal de s’ennuyer.
Mais je n’attends que tes remarques pour m’améliorer. C’est le principe des critiques tant qu’elles sont justifiées. J’ai passé au moins quatre fois Antidote dessus. Comme quoi, il a aussi ses faiblesses. Et cela me permettra de sortir un meilleur produit la prochaine fois.
Où est-ce l’utilisation de l’orthographe d’avant la réforme de 1990 ? J’attends tes explications avec impatience.
En effet, magnifique pour une personne qui semble confondre la langue allemande et la langue française pour la casse des majuscules.
Enfin, j’ai horreur des chapitres trop longs. Des chapitres de 25 ou 30 pages, ça me gavent rapidement !