Après le flop 5 (dont une distribution listée m’a valu une fessée avec une poignée d’orties), voici mon top 5. J’avoue que ce n’est pas évident, mais voici quel est mon top 5.
En première place, la distribution que j’utilise sans presque discontinuer depuis fin 2008 : Archlinux. Les raisons sont nombreuses : publication en continu, logiciels pas trop rustinés, KISS (même parfois un peu trop), une communauté pas trop infestée par les kikoolol, et son énorme point fort (le wiki qui est une bible), et son énorme point faible : le dépot AUR où le meilleur cotoit le pire.
En deuxième place, une autre rolling release, la Frugalware Linux. Ce qui m’a attiré à l’époque, c’est son côté publication continue, avec une communauté familiale. Cependant, ce que je considère comme un point faible – qui pourrait être aussi un point fort – des versions stables tous les 6 mois.
En troisième ? La Fedora Linux. Quand j’ai décidé de virer pour de bon MS-Windows de mes machines, c’était à l’époque reculée de la Fedora Core 4. Et j’avoue que j’avais été un peu échaudé à l’époque. Cependant, depuis l’époque de la Fedora Linux 11 ou 12, des progrès énormes ont été faits. Ce sera surement ma distribution de repli si un jour j’ai une vie sociale et familiale réelle 🙂
En quatrième position ? Viperr. Cette version dérivée de la Fedora Linux orientée minimalisme m’avait tapé dans l’oeil à l’époque de sa version 01, impression confirmée avec la version 02. J’adore son minimalisme, sa vitesse, et surtout l’idée sous jacente.
Pour finir mon top 5, je vais changer un peu d’univers avec la Linux Mint Debian Edition. Presque en publication continue, elle propose une debian GNU/Linux en version testing avec un des meilleurs environnement – en dehors de Gnome-Shell et Xfce, j’ai nommé Cinnamon. Comme je l’avais exprimé dans mon billet sur Cinnamon :
Je sens que le prochain grand mouvement, pas pour la Linux Mint 13, mais plus tard, sera de prendre comme base la Linux Mint Debian Edition et de coller dessus Cinnamon. Et ce serait un coup de génie : une interface modulable, basée sur Debian, et donc se démarquer de la distribution reine…
Et plus de 6 mois après avoir rédigé ce paragraphe, mon impression se confirme. J’aurais pu rajouter la distribution reine, avec qui j’ai débuté à l’époque de la 6.06 à l’époque de sa RC en mai 2006. Je résumerais le fond de ma pensée en citant ce proverbe : « La roche Tarpéienne est proche du Capitole »
Bonne journée.
1/ Ubuntu LTS : stable, pas trop à jour par rapport aux autres, mais au moins, pas de soucis
2/ Fedora : Idem, distribution de secours, quand j’en ai marre d’Ubuntu
3/ Linux Mint : parce que j’aime bien leur philosophie
4/ OpenSuSE : la 11.4 est certes un peu ancienne mais elle correspond à mes besoins
5/ Debian : pour les serveurs au boulot
1/ Ubuntu 12.04 pour sa stabilité et la persistance de Canonical à vouloir moderniser le SE libre: cloud Ubuntu one depuis 2009, ihm Unity et ses derniėres extensions: HUD, Lenses, etc…
2/ Hybryde evolution, meta-distribution qui permet de choisir son environnement de bureau en particulier le bureau KDE4 augmenté des outils Canonical et Gnome(client/serveur samba, cloud ubuntu one, etc…).
3/ Voyager 12.04 qui est une version améliorée de xubuntu pour ceux qui ne veulent ni de Unity, ni de KDE.
4/ Android ICS sur smartphones et tablettes pour rappeler qu’une distribution linux, ça peut(doit) fonctionner sur tous types de matériels.
5/ Debian qui reste la base des serveurs et desktops linux.
1/ Archlinux (même si certaines mises à jour m’ont vraiment cassés la tête. Je trouve anormal le fait qu’il faille aller vérifier sur le site officiel si le prochain pacman -Syu ne risque pas de tout casser).
2/ Debian
3/ Ubuntu
4/ Fedora
5/ Mint
Frederic, juste une question: Qu’est ce qui fait que tu semble plus attiré par le coté Fedora que par le coté Ubuntu? (mis à part Unity :p)
Ce sont des choses qui arrive, surtout avec des changements lourd comme une nouvelle glibc.
Fedora se base sur des technologies qui sont répandus, comme systemd, gnome-shell, pulse-audio, peu ou pas de mono, et plein de petites autres choses.
Je teste pas mal de distributions (parce que j’adore ça 😉 ) et mon top varie rarement :
1 – Kubuntu LTS (le nombre de logiciels dispo, la stabilité de la LTS, la base debian). KDE parce que je ne supporte pas Gnome ni Unity (Cinnamon par contre est très bien) et LTS parce qu’une Ubuntu non-LTS est vraiment merdique.
2 – Fedora (même si j’avoue ne pas encore avoir testé la 17)
3 – openSUSE (qui malgré quelques défauts relevé içi par Frédéric reste une excellente distribution)
4 – Mageia (qui avance à grands pas)
5 – Chakra (encore immature mais promet de belles choses)
J’ai eu envie de citer d’autres distributions (Debian, Arch et CentOS) mais sont destinées à un public précis.
Celles vers lesquelles je reviens régulièrement :
1- Mint avec Cinnamon parce que ça marche bien sans lourdeur ni trop de gadgets (ma solution paresseuse).
2- Debian sid avec Xfce, pour découvrir, apprendre, quitte à tout planter… 😉
Celles que je conseille ou installe chez des amis, selon leurs besoins et PC :
Mint et Opensuse
aptosid version Xfce (pas mal de vieux PC obsolètes se refont une jeunesse avec aptosid)
Mon top 3 des distributions :
1- Slackware: Simplicité, stabilité à toute épreuve, init de type BSD, paquets récents. Elle équipe mes pc portables pour de la simulation informatique (Scilab, Matlab), de la programmation en C (cible microchip, avr et depuis peu ARM) VHDL et python, la rédaction de documents Latex et le classic PIM agenda + mail. C’est la distribution qui m’a fait aimer KDE dans sa version 4.
2- Debian stable: pour les pc un peu anciens qui me servent de station de surveillance de process. Facile à mettre en oeuvre, par contre les paquets sont anciens, mais pour des machines dont l’unique objectif est de remplacer un automate programmable ou une station de supervision, c’est nickel. Environement XFCE si moins de 1G de RAM, Gnome classique sinon.
3- Kubuntu LTS: Facilité d’installation, utilisable out-of-the-box, elle pourrait presque remplacer la Slackware sur mon poste de travail quotidien. Je suis en train de la tester sur mon nouveau portable et c’est plutôt positif!! J’aime beaucoup, mais mon coup de coeur reste la Slack dont j’attends avec impatience la sortie de la version 14.
J’ai testé archlinux mais pas suffisament longtemps, gérer une évolution perpetuelle de paquets n’est pas adaptée à mon utilisation de la machine.
Pareil pour Fedora. En ce qui concerne OpenSuse, j’ai beau être un fan de Kde, j’ai jamais accroché à cette distrib.
Pour le monde du desktop je mettrai :
1/ Fedora (le spin KDE pour ma part)
2/ Ubuntu (la 12.04 s’approche de l’idéal recherché)
3/ Arch (en 3e car je préfère le out-the-box)
L’avantage que je trouve à Fedora c’est l’implémentation de KVM et sa suite libvirt/virt-manager, avec les dernières nouveautés en date, et ça tourne très bien. Ubuntu implémente beaucoup moins de choses.
Pour les serveurs :
1/ Ubuntu server (mis à jour pendant 7 ans)
2/ Debian (en 2e car maintenue moins longtemps)
3/ CentOS (incassable et propre mais pénalisée par le manque de packages).
Bonjour,
Je suis surpris de pas voir citer Debian dans le top 5. J’ai essayé de nombreuses distributions et j’en suis revenue à Debian Wheezy (Testing), le compromis idéal entre stabilité et logiciels récents.
De plus, l’installation est très simple …
Testing est beaucoup plus stable que des distributions finales …
Bonjour.
En ce qui concerne Debian, je n’en ai jamais été un super fan, même si c’est une bonne distribution. Si je devais rajouter 5 distributions, elle serait en 6ième ou 7ième place.
Quant à la stabilité de testing, je préfère encore certaines distributions dites instables 😀
Mais chacun voit midi à sa porte, donc…
Certes, chacun voit midi à sa porte et lorsque tu cites Fedora et Archlinux, je me dis que ça tient la route. J’ai testé Fedora Verne pendant plusieurs mois, Yum est d’une grande puissance et la qualité graphique de l’interface est magnifique Mais de trop nombreux plantages pour une stable release.
Archlinux, j’en entends que du bien et je vais la tester un jour ….
Pour autant, mettre Viperr devant Debian, là j’ai du mal à suivre d’autant que ce n’est qu’un fork de Fedora.
Heureusement tu cites LME debian édition une dérivée de Testing.
Et si tu veux du Instable, tu as Debian Sid…
Debian c’est une distribution mais aussi une philosophie, une grosse communauté expérimentée et disponible, une distribution très solide, de nombreux paquets, un gestionnaire de paquet impressionnant (APT)…
Voilà que rajouter
Et si je veux de l’instable soit disant stabilisé, y a ubuntu 😉
Le gros hic de Debian, c’est son « retard » sur l’upstream. Et pour les fans des logiciels récents, même sid ou experimental sont trop vieux.
Quant à apt, même si c’est un excellent outil, il n’arrive pas à la cheville – selon moi – d’un pacman.
Et je n’ai pas envie de rentrer dans une querelle de gestionnaires de paquets, c’est stérile.