Dans un précédent billet, j’annonçais mon départ d’Archlinux (la migration désastreuse vers Python 3 sur le dépot [Testing]), pour la distribution Ubuntu. Cependant, ce n’est pas celle qui fait fonctionner actuellement ma machine.
Les raisons principales :
- Le manque de fraicheur de certains logiciels
- Le coté cartoon de l’interface
- Le coté « figé » de la distribution
Et de plus, comme me l’avait fait remarquer Cyrille Borne dans son commentaire : « c’est pas honteux à un moment donné d’avoir envie de facilité ».
J’ai donc suivi le conseil, et j’ai allié deux de mes envies : facilité et jeunesse « stabilisée » de logiciels. Ce qui m’a finalement orienté vers le choix que j’ai fait aujourd’hui.
Et le choix était évident : La Frugalware Linux. j’ai donc récupéré l’image USB de la version 1.3, et j’ai suivi le chemin habituel pour avoir une version current en 64 bits. Ne manque qu’à l’appel un certain gwibber qui semble refuser de se lancer… En attendant, j’utiliserais ce bon vieux Pino 0.2… Avec le truc qui va bien 😉
Les seuls points négatifs (en dehors de gwibber) :
- Le pilote nvidia d’une ancienne génération (un 193.xx), mais qui reste fonctionnel avec ma carte nvidia GeForce GT210
- La lourdeur relative de l’installation terminée
- Le fond d’écran par défaut qui est assez séminal
Et l’obligatoire capture d’écran :
Maintenant, je vais voir combien de temps je vais rester avec la Frugalware. Mon record est de deux mois… On verra donc au 9 décembre prochain si je suis toujours utilisateur de la Frugalware 🙂