Il y a des addictions musicales qui me caractérisent. Pour le rock progressif et le metal – classique et progressif au départ – je ne peux que remercier un ami caricaturiste et portraitiste. Pour le post-rock, ça remonte à la découverte de Mono, le groupe de post-rock japonais. Même si le déclic réel a été avec – je ne sais plus qui, désolé – qui m’a fait découvrir les orléanais de Have The Moskovik.
Alors que je cherchais de l’inspiration pour un texte en cours d’écriture – qui sera publié si j’arrive à le terminer un jour en accès libre sur Atramenta – en farfouillant la section post-rock de Bandcamp à la recherche des dernières sorties, je suis tombé alors sur une pochette qui m’a interpellé. Celle du premier album éponyme du groupe Cirrus Minor, groupe originaire d’Évreux.
C’est ce qu’on pourrait appeller sans aucun problème du post-rock instrumental progressif. Car il faut dire qu’avec 5 pistes au compteur pour un total d’un peu plus de 35 minutes. Soit une moyenne de 7 minutes par piste.