Il ne se passe plus une semaine depuis la sortie de MS-Windows 10 sans qu’un nouveau scandale ne vienne ternir le dernier né de Microsoft.
Voici une chronologie non-exhaustive des principaux « scandales » que j’ai pu trouver :
17 juillet 2015 : les mises à jour seront automatisées et obligatoires, sauf pour les versions Entreprises de l’OS.
Même si cela part d’un bon sentiment (vouloir limiter la casse), cela peut entrainer des situations cocasses en cas d’une mise à jour faisandée qui finira un jour ou l’autre par arriver. D’ailleurs, dès le 10 août, dixit ZDNet, ce fut le cas.
30 juillet 2015 : Il faut faire attention de bien configurer les options concernant l’envoi des informations auprès des serveurs de Microsoft. Ce dernier s’avérant être une commère de haut vol.
La CNIL a fait un article à ce sujet, que je vous conseille de lire.
18 août 2015 : selon les licences d’utilisation, textes que personne ne lit complètement, Microsoft se réserve le droit de désactiver des logiciels non légaux des ordinateurs sans prendre de pincettes. Simple reprise des conditions d’utilisation d’utilisation de la Xbox.
21 août 2015 : Microsoft annonce en tout tranquillité que les notes de publication ne concerneront que les mies à jour les plus importantes. En clair, circulez, il n’y a rien à voir.
Dernier « scandale » en date ? Certains sites de partages ont décidé de mettre à la porte les utilisateurs de MS-Windows 10.
Selon torrentfreak, certains sites de partage, vu les dérives concernant la gestion des données de l’utilisateur dans MS-Windows 10, ont décidé de ne plus accepter leur présence. Sûrement lié à l’histoire de la désactivation automatique de certains logiciels non légaux selon Microsoft. Ouille 😀
Cela doit faire partie à certains lobbys d’ayants-tous-les-droits soit dit en passant, qui n’auront bientôt plus besoin d’usine à gaz comme l’Hadopi pour combattre les méchants pirates qui les empêche de vendre de la pollution de trottoir à prix d’or.
Cela commence à faire beaucoup pour un OS sorti depuis moins d’un mois quand j’écris cet article.