Concours : gagnez un CD du premier album d’Akoma sous cellophane.

J’avais parlé du groupe Akoma en janvier 2015, dans un article complet. Suite à quelques péripéties un peu trop longue à expliquer, j’ai reçu 4 exemplaires de leur premier album.

Si vous voulez écouter l’album, il suffit d’aller sur sa page bandcamp. C’est du métal symphonique avec du chant clair féminin.

Je propose donc un concours pour faire gagner les 3 exemplaires restants.

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« Volcano » : le retour des Kings of Edelgran

En juin 2014, je parlais du premier EP du groupe de indie folk rock belge, Kings of Edelgran intitulé « Kor Isen ».

En ce mois de février 2015, le groupe propose son deuxième EP, un trois titre du nom de « Volcano ».

Ici, le groupe a remis le couvert en beauté. Dès la première piste, on retrouve l’univers planant typé 70’s du groupe. Les voix aiguës portent les morceaux qui sont ciselés. La piste éponyme donne déjà un grand coup.

La deuxième piste, « Tephra » continue le voyage entamé avec le premier titre. Le titre est plus strict, plus discipliné.

L’ultime piste, « Fire and Gold » est un peu plus « psychédélique » que les deux pistes qui précèdent, mais on ressent la maitrise qu’à le groupe de ses mélodies.

Vous savez que j’aime souvent les musiques qui décalaminent les cages à miel. Mais je ne dis pas non de temps à autre avec des albums plus doux, plus calmes et moins bruyant, du moins selon les standards en vigueur 🙂

Si vous voulez faire une bonne action, l’EP est disponible à l’achat en version numérique à 3€… Inutile de préciser que j’ai acheté l’EP, en attendant de le graver sur une galette pour pouvoir l’écouter en dehors de mon ordinateur.

« Hit The Head » des Corbeaux : du bon post-rock instrumental qui décalamine les oreilles :)

Il y a des albums qui sont des claques dès la première écoute, et ce dans de nombreuses domaines. Je citerai par exemple « Insurgentes » de Steven Wilson, « Blackwater Park » d’Opeth, « Paranoid » de Black Sabbath, « On Stage » de Rainbow, « Year Zero » de NiN, « A Night At The Opera » de Queen, « In The Court Of The Crimson King » de King Crimson ou encore « A Love Supreme » de John Coltrane. Je sais, c’est éclectique, mais ce sont les albums de ma musicothèque qui m’ont le plus marqué dès la première écoute.

Dans le domaine du post-rock, qui est le sujet de cet article, il y a deux albums qui m’ont fait cet effet : « Holy Ground NYC Live » de Mono et « Une simple théorie des glaces en terrasse » des Have The Moskovik.

Du moins c’était le cas, jusqu’à ce que sur la framasphere*, point d’accès au réseau social décentralisé diaspora*, je tombe via je ne sais plus qui (désolé !) sur l’album des Corbeaux, un groupe des environs de Quimper. Une raison de plus de ne plus fréquenter le réseau des fesseurs de caprins 🙂

L’album des Corbeaux commence avec des sonorités blues rock classique, mais la montée en puissance est assez rapide. En l’espace d’une minute, on est dans le vif du sujet. « Cran d’arrêt » nous propose un post-rock sombre et entraînant à la fois. Le morceau a quelques périodes de respiration, avec un dialogue entre les guitares et la batterie, avant de reprendre sur un rythme effrené. C’est avec la dernière piste, la plus longue de l’album.

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En vrac’ rapide et à tendance culturelle.

Alors que je suis en train de mettre les premières pierres à un projet de manuscrit avec des tendances uchroniques (que j’espère publier vers septembre ou octobre 2015 si tout se passe bien), un petit en vrac’ culturel en attendant des articles plus consistants.

C’est tout pour aujourd’hui. Il faut dire que la crève monstrueuse que j’ai attrappé refuse le divorce… Dommage 🙁

« L’Appel du Vide » de « Rise of Avernus » : un mélange explosif.

Dans un billet « en vrac' » de début janvier 2015, je parlais en vitesse du premier LP des australiens du groupe « Rise of Avernus« .

L’album est sorti en 2014 et peut être écouté sur la page bandcamp du groupe. Inutile de préciser que je l’ai acheté pour me faire un petit cadeau d’anniversaire avec un peu d’avance.

Le groupe est australien, propose un titre d’album en français et est produit par un label italien. Vive la mondialisation ! 🙂

Le groupe mélange plusieurs influences : du chant growl (pour l’influence death metal), du chant féminin clair (pour l’influence symphonique) et des pistes qui sont tout de même assez longues, la plus courte, éponyme de l’album durant moins de deux minutes, la plus longue arrivant à 7 minutes 30. Autant dire que l’on peut rajouter une influence progessive très marquée.

La première piste nous propose déjà le mélange qui teinte la plupart des pistes : le metal (guitares, batteries) avec un chant growl. Si le chant growl est seul durant une ou deux minutes, rapidement le chant clair arrive et se marie à la perfection.

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