Des invités félins.

Profitant de mon jour de pause, j’ai nettoyé un peu ma maison, et cet après-midi, vers 17 h 00, en regardant par la fenêtre, j’ai pu voir une famille « féline ». Une chatte avec 3 petits, aussi bariolé les uns que les autres.

chats

J’ai donc pris mon appareil photo, histoire d’immortaliser cet instant.

Mignon, non ?

Le stand de l’Encrier au village des associations de Biganos.

La semaine dernière, à Biganos, a eu lieu le « village des associations ». Regroupement des associations boïennes, cela a permis aux associations locales de se faire connaître. De 10 à 18 heures, ce jour-là, l’Encrier y avait son stand.

J’y étais présent. Il a été proposé des jeux de sociétés et présentés les activités de l’association. Un scrabble géant était présent à coté du stand.

Un atelier d’expression théatrale animé par Valérie, a été proposé. Atelier qui débordait de bonne humeur, surtout que nous avons profité d’une zone ombragée bienvenue en cette chaude journée de début septembre !

Pour finir, voici quelques clichés que j’ai pris lors de cette manifestation. Le blog de l’Encrier propose d’autres photos.

Cliquez donc sur l’album 🙂

Stand de l’Encrier

Un exemple de la connerie humaine dans sa plus parfaite expression.

René Descartes se trompait lourdement quand il déclarait que le bon sens est la chose la mieux partagée au monde. C’est l’inverse.

Une anecdote assez fraiche qui prouve ceci.

Ce soir, je vais faire quelques courses à mon hypermarché local. Je trouve une caisse pas trop occupé, me disant que 5 minutes plus tard, je serais passé. En fait, j’ai du poirauter 4 fois plus de temps.

Une cliente – que je ne qualifierais pas – paye une note assez salée (92 €) par le biais de coupon cadeau plastifié. Et au lieu de donner des coupon de grosses valeurs, elle donne des petits coupons. Chacun d’entre deux doivent être débité de la note.

32 coupons plastifiés sont donnés. Et la caissière de passer près de dix minutes à débiter les coupons de la note finale.

Une fois la cliente partie, la chef caisse passant, elle parle à la caissière qui lui montre le paquet imposant de cartes. 32 cartes pour une telle somme. Le terme connerie – oups ! – me vient à l’esprit.

La caissière souffrait vraiment, mais qu’avait-elle le droit de dire ? Et la chef caisse de critiquer ce mode de paiement qui coute plus cher qu’il ne rapporte.

Bref, la bétise humaine s’est exprimée dans sa version la plus claire.

Tiens, je pensais que le 14 juillet était un jour férié…

A moins que je sois devenu une nullité monstrueuse en matière d’histoire de France, le 14 juillet a été un jour férié depuis… 1880

Mais un tract – terme commercial utilisé par la grande distribution pour qualifier les publicités qui encombrent les boites aux lettres – semble me faire penser le contraire.

Voici donc l’en-tête numérisé d’un tract reçu hier dans ma boite aux lettres.

Ouverture d'un Auchan le 14 juillet

J’avoue être un peu dérouté par ce tract…

Bien, oui, ce sont les giboulées de mars :)

Avant de partir pour quelques petites obligations à caractère professionnel, j’en profite pour rappeler que le printemps ne commence qu’aux alentours du 21 mars…

Une photo prise devant chez moi, il y a une petite dizaine de minutes… Sans aucun autre commentaire à ajouter 😉

giboulées de mars :)

Un petit nuage de grêle s’est vidé… Pas mal, non ? 😉

Bilan d’un mois à Biganos…

Un mois en tant qu’habitant de Biganos (15 kilomètres d’Arcachon), et que de choses à dire sur cette « petite » ville à une grosse cinquantaine de kilomètres de Bordeaux.

En l’espace d’un mois, j’ai quasiment terminé mon déménagement, et il ne me manque plus que la télévision à installer. Et un mois sans télévision, c’est rude, surtout le soir !

J’habite maintenant dans un appartement 3 pièces, d’une grosse quarantaine de mètres carrés (le double ce que j’avais à Arcachon). Le voisinage est sympathique, et surtout, je suis à proximité de tout ce qui est commerce : l’hypermarché du coin est à moins de 10 minutes à pied, idem pour le magasin de « hard discount », ou encore les administrations municipales.

Pour tout dire, la mairie de Biganos est active. J’ai contacté l’organisme dédié à l’emploi le 11 juillet, eut un rendez-vous le 23, et le 26 une proposition de leur part, le 27 l’entretien avec la personne ayant déposé l’annonce et le 28 l’essai… Qui a dit dynamique ? 😉

J’ai décroché un remplacement d’une semaine grace à un organisme mis en place par la mairie, et ayant fait une « journée » d’essai hier qui ne s’est pas trop mal passé, je vais travailler assez tôt le matin de lundi à samedi… Et il y aura peut-être une opportunité d’évolution plus intéressante sur le long terme.

C’est d’ailleurs hier, lors de ma journée d’essai que j’ai croisé une personne que je n’avais plus vu depuis… 1997. Et le plus étonnant, c’est que je l’ai reconnue uniquement de dos. Cela vous est déjà arrivé ?

Donc, pour la semaine qui arrive, ne comptez pas trop sur moi pour bloguer, ou assez tard dans l’après-midi.

A dans une semaine pour une alimentation plus « complète » du blog 😉

Budget alimentaire… Plus important qu’on ne le pense…

J’ai effectué hier quelques courses dans un hard discount de la ville voisine, et pour une grosse dizaine de jours de nourriture (je me fait souvent la popote) j’ai dépensé environ 23 euros. Donc, en gros, je dépense 75 à 80 euros par mois en nourriture.

Ce qui donne sur l’année un minimum pour l’alimentation de 900 à 960 euros de nourriture. En comptant quelques extras, on peut monter – pour un célibataire – à un budget nourriture de 1000 à 1200 euros par an !

Ce qui est quand même assez énorme. Et quand j’entends qu’un budget alimentaire tourne aux alentours de 3000 euros par an, j’espère qu’il parle d’un couple avec enfants 😉

Y en a marre des gueulantes des acteurs du secteur économique primaire.

Ils sont plus que minoritaires dans les économies occidentales, mais les ostréiculteurs, agriculteurs, éleveurs de moutons ou autres, nous cassent régulièrement les couilles.

Entre les tendances épurationniste des Pyrennées (mouvements anti-ours) et des Alpes (mouvements anti-loup), les agriculteurs qui font flamber des denrées alimentaires ou qui pillent les magasins en sacageant des denrées alimentaires, bref, de ce totalitarisme lié à la fonction alimentaire.

La crise actuelle des huîtres du Bassin d’Arcachon est la goutte d’eau qui fait déborder le vase. Les ostréiculteurs jouent au chantage disant qu’il représente 1000 emplois directs. Mais, combien de personnes ne travaillent pas dans l’ostréiculture ? Des milliers de personnes. Et surement plus que les 1000 concernés.

Quid des restaurants ? Des hôtels ? Des services publics (SNCF, Mairie, préfecture, etc…) ? Des magasins de fringue ? Des boulangers ? Des patissiers ? Etc…

Le bassin ne résume pas à l’ostréiculture, et c’est pas une mesure électoraliste comme celle de monsieur Acot-Mirande, maire de La Teste de Buch, de faire fermer les plages, qui changera grand chose.

Le sensationnel, c’est excellent pour grapiller quelques suffrages, même si les municipales ne sont qu’en 2008… Coïncidence ? Vraiment ?!