Dans l’article « Vieux geek, épisode 382 », je parlais de DR-DOS 7.0.x sorti par Caldera en 1998. Six ans plus tard, une petite entreprise du nom de DeviceLogics proposa une ultime génération de DR-DOS, la version 8.x. Tout le monde était déjà passé à Windows XP à l’époque et donc le marché potentiel pour une nouvelle version d’un DOS était plus qu’étriquée.
Cependant, cela n’empêcha pas la sortie de DR-DOS 8.0 (en 2004) et 8.1 (en 2005). Cette dernière version n’étant disponible pour faire une image disquette démarrable. Donc le dernier DR-DOS installable, c’est le 8.0.
Et ce qui avait fait une partie du charme de DR-DOS 7.0.x, l’installateur en mode graphique avait disparu. À la place, on se retrouve à faire des opérations DOS de base pour installer le minimum, puis le reste des trois disquettes via un script bat. Autant dire que c’est une puissante régression.
Mais le mieux est de vous montrer tout cela en action avec mon ami PCem.
Vous l’avez vu, la compatibilité aléatoire a frappé un grand coup… Je dois dire que je ne m’y attendais pas du tout. Autant dire que si vous vouliez du DOS moderne en 2004, mieux valait se tourner vers FreeDOS à l’époque en version 0.9. Bien qu’en bêta, elle devait être plus stable et compatible que le projet de DeviceLogics. C’est pas difficile, vous me direz 🙂
Le mec est sur windows 11. Même toi ils t’ont eu.
Et oui, il est passé sur une sorte de DR-DOS sans même s’en rendre compte. Et aussi je suis passé à l’hystérie et je me mets des choses dans les fesses
Comparer des voleurs de code GPL à Microsoft, faut le faire 🙂
T’as vu ça comme ton pote essaie de s’en prendre à moi ? Cette vile créature modifie mon message initial et essaie de m’humilier
Grrr
C’est pas jojo, il a sans doute un pète au casque. Fred, tu devrais me nommer modérateur à sa place !
Côté modération, je suis le principal concerné, et je suis très laxe. Un jour je pourrai prendre la mouche et buter les commentaires à vue.
J’ai donné 19 ans de ma vie en informatique au logiciel libre. Je ne suis pas parti de gaieté de coeur, mais je n’avais pas le choix. J’en avais assez de bousiller les données de mon SSD de sauvegarde… Les développeurs du noyau n’ayant pas pris en compte ma carte mère et le support de ses ports USB 3.
Problème qui a disparu avec ma migration sous Win11. Je ne suis pas un idéologue, je reste pragmatique et réaliste. Le libre sur certains plans fonce dans le mur. Ce sera sans moi.
Oui mais il me semble que tu étais sur une branche d’Arch très très récente(noyau compris), donc tu essuyais les plâtres.
J’ai utilisé pas mal de distros depuis 1998 : Slackware, Debian, RedHat, Gentoo, Arch, Mint, Ubuntu … et quasi tous les Windows. Linux a toujours bien géré mon matos(quand il le gérait), car j’utilisais un système stable. La seul et unique fois où j’ai eu des soucis, c’était quand j’étais étudiant en Debian Sid
Je suis revenu à Ubuntu LTS, sur mon PC(récent), avec une émulation de Windows en VM. Tout roule!
J’ai rarement eu des plantages gravissimes, même en Archlinux avec les dépôts testing activés. Si j’en ai eu 3 en presque 16 ans, c’est le bout du monde.
Un qui t’a quand même fait arrêter Arch sur ton poste principal :
Finalement, tu reviens à un modèle de slow rolling release avec Windows 11 Tiny.
C’est surtout un putain de bug au niveau du support de mes ports USB. J’avais l’option de prendre une carte d’extension à 30€. Ça me gonflait de dépenser de l’argent pour contourner la non prise en charge des ports USB de ma carte mère.
Il se dit que Fred est en couple avec Pamela Anderson.
L’histoire ne dit pas si il court sur la plage en maillot rouge.
Si quelqu’un a des photos non fakées à l’IA je suis preneur.