Comme pour Gnome 46 en mars 2024, le gros du travail a été fait en interne. Il n’y a que peu de nouveautés visibles dans Gnome 47.
Ce qui m’a fait peur, c’est le nombre de mises à jour à effectuer pour migrer vers Gnome 47. Une centaine, comme le prouve la capture d’écran ci-dessous.
Sinon, les changements vraiment visibles sont peu nombreux. Les dialogues de redémarrage et d’extinction ont été retravaillés, on peut choisir un jeu de couleurs dans l’apparence ou encore la barre latérale de Nautilus alias Fichiers a été redistribué. Une section avec des raccourcis systèmes vers le haut, une section avec les raccourcis utilisateurs vers le bas.
Seule cette section est modifiable. Je dois dire que c’est assez pratique.
Sur le plan des extensions, aucune casse. J’utilise seulement :
- L’extension gnome shell AppIndicator
- L’extension gnome shell ArchUpdate pour m’indiquer la présence de mises à jour
- L’extension gnome shell Weather O’Clock qui me donne la météo à la droite de la date
Mais le mieux est de montrer Gnome 47 en action.
Vous avez pu le voir, entre Gnome 46 et 47, les différences ne sont pas flagrantes. C’est donc une bonne évolution d’un environnement qui n’en finit pas de mûrir à son rythme. Il est juste un poil plus gourmand que la version précédente. Ce sont des choses qui arrive, mais il reste utilisable même avec seulement 8 Go de mémoire, car j’avais testé l’ensemble de Gnome à son arrivée dans Gnome Unstable dans une machine virtuelle.