Le « blogueur influent », que je suis, est de temps en temps contacté par des groupes ou des artistes qui me proposent d’écouter leurs dernières créations.
J’écoute toujours par simple respect. En parler, c’est une autre paire de manche.
Vers le 20 mars 2016, j’ai reçu un courrier du groupe La Brume Électrique annonçant la sortie de leur premier album éponyme. J’en avais rapidement parlé à l’époque dans un billet en vrac’.
Puis, la vraie vie s’invitant, je n’avais pas eu l’occasion de réécouter l’album jusqu’à ce matin, pour me changer de la musique techno excrémentielle commerciale que m’impose mes voisins le week-end.
C’est du post-rock léger, aérien, instrumental, avec des mélodies qui fleurent bon les années 1970 dans leur ambiance. On est loin du post-rock de Mono qui joue la facilité des mélodies saturées dans ses titres.
On pourrait se dire que ce sont des mélodies datées, mais c’est loin d’être le cas. C’est un repos pour les oreilles, et un fontaine de jouvence pour l’enfant des années 1970 que je suis. Les pistes sont bien dimensionnées, et on dépasse rarement les 7 minutes, sauf pour « dans la brume électrique » ou encore « la ballade de Tchouri ».
Presque 48 minutes d’un post-rock instrumental, reposant et presque planant, que demander de plus ? Rien. L’album est en téléchargement à prix libre sur Bandcamp.
Bonne écoute. Je vous laisse, j’y retourne 🙂
Tourne tes enceintes vers la demeure de tes voisins et laisse tourner à fond du death, du brutal ou équivalent.
😀
Je tiens à ma caution 😀
Il a raison m’sieur Gilles, un bon grindeath ! Vengeeeeannnncccceee !
J’commente pas souvent ici, mais alors cette musique : Merci !
De rien 😁