Depuis des années, quand l’occasion se présente sur mon blog, je parle de l’Amstrad CPC, surtout pour les derniers titres qui sont encore développés par des passionnés – ou des fadas c’est selon votre point de vue – bien des années après que la machine fut déclarée comme morte. Il faut se souvenir que les derniers titres commerciaux sortis sur ce vénérable ancêtre remonte à… 1993 !
Que ce soit « Orion Prime » – dont je n’ai jamais vu la fin à cause du casse-tête qui débloque les portes – et dont j’ai parlé en 2009, le clone de Dungeon Master, « The Shadows of Sergoth » (sorti en 2018) et que je vous conseille, « Imperial Mahjong » sorti en 2016 et dont j’ai parlé en 2019, « Clevermind » et sa coccinelle en 2019 ou plus récemment le très bon et très dur « Ile au trésor » sorti en 2020. Et qui m’a valu 15 jours de prise de tête pour en voir la fin de manière officielle. Tout ce que je peux vous dire, c’est que celui-ci est assez long et qu’il faut bien une centaine d’étapes pour en voir la fin !
Mais c’était sans compter sur les irréductibles programmeurs qui ont encore frappé. Via Genesis8bits, j’ai appris l’existence d’un jeu d’aventure semi-graphique en anglais, « The Curse of Rabinstein » (aussi sorti sur C64, MSX, PC, Atari ST, Amiga et Spectrum) produit par Stephan Vogt, avec deux autres titres sortis en 2019.
Il serait dommage d’oublier le concours « Amstrad CPC pour toujours and beyond ! » lancé par Bruno alias Kukulcan sur le site CPC-Power. Il y a eu dix entrées dont deux sont mes préférées : « Brixen » (un casse-brique qui est aussi un explose-gonade de première) et un jeu d’aventure-action au langage assez cru, « Ninja Carnage ».
J’ai donc fait une petite vidéo pour vous montrer tout cela.
Je dois dire que « Ninja Carnage » est celui qui m’a fait le plus rire, surtout avec les remarques des développeurs qui ne manquent pas d’auto-dérision. Je tiens à préciser que je ne ferai pas de longplay de l’Ile au trésor, étant donné qu’une vidéo sera faite sur twitch par Zisquier, dixit l’auteur du jeu qui m’a déclaré être la troisième personne qui avait résolu l’énigme à sa connaissance, comme je le précise dans la vidéo.
Je me demande ce que va réserver la deuxième moitié de l’année 2020 pour ce bon vieil Amstrad, tiens 🙂
Je n ‘est jamais été très » fan » de cette bécane , certes , ma première approche du jeu vidéo fut une NES , mais quand je liais » Joystick » , cela me semblait déjà cheap pour l ‘ époque , certes je pouvais comparer cela avec de l ‘ Atari ST et autre Commodore Amiga survendus , mais bon plus de trente ans après …
Salut Fred,moi ça me manque de ne plus pouvoir utiliser le mien mais le lecteur de disquette est mort alors pas facile a retrouver,j’ai déjà essayé de le réparer mais rien à faire,j’ai toujours le missing qui s’affiche à l’écran,dommage j’avais moi même fait un petit jeu de réflexion sympa du genre casse tête avec des couloirs et des briques qui tombent et c’était un petit robot qui devait récolter des points d’énergie pour finir les tableaux que je pouvait changer comme je veux puisque les tableaux étaient fait de 0 et de 1 avec des planches rectangulaires.
Ah ça me manque de me re-lancer dans le basic!!!
Sinon Fred, quitte à parler du CPC, à quand un article sur SymbOS ?
Un vrai fan de CPC et d’OS ne peut pas passer à coté d’un OS multi tache avec environnement graphique pour le CPC à coté duquel l’application GeOS du Commodore 64 passe pour une plaisanterie.
Je connais. Quant à faire un article, bof. Il faut vraiment un CPC sous anabolisants pour en profiter, donc 😀
Content que Ninja Carnage te plaise. Ils t’ont donner du fil à retordre les deux chiens 🙂 ….
Bientôt les 29 tableaux fini. Ca sera diffusé dès que tu est fini.
Merci pour le test.
J’ai bien rigolé avec les remarques du tutoriel de Ninja Carnage. En gros, le plus loin que je suis allé, c’est au cinquième tableau… Donc, un sixième du total… Ouille !