Ysma est un groupe de rock et metal progressif instrumental allemand que j’ai découvert avec leur premier album, « Vagrant » en 2013… Déjà 4 ans. Quand j’ai eu l’occation de précommander leur troisième opus, sortant le 31 mai 2017, j’ai sauté sur l’occasion. Pour le collectionneur que je suis, avoir un des cent exemplaires fabriqués a été une motivation supplémentaire.
Il faut dire qu’avoir attendu plus de deux ans et demi après le très bon « Fourth Wall » a été l’ultime motivation pour précommander « Memoirs in Monochrome ». Avoir pu écouter deux pistes « 30 Doradus » et « The Glassblower Part. I+II » a aussi joué en la faveur de la précommande.
58 minutes pour 7 pistes ? Une bonne moyenne pour du rock progressif.
La piste d’introduction est très solennelle, presque religieuse dans son ambiance. On se dit… Cela promet du lourd pour le coeur de l’album… Une bonne mise en jambe si on peut prendre cette image sportive !
« 30 Doradus » qui est la deuxième piste mais aussi la plus longue arrive juste après. On y trouve un mélange d’influence metal, d’orgue digne des titres de rock progressif des années 1970, avec de la guitare dans les périodes de calme.
Bref, ici, on est dans les classiques du groupe développé à l’époque du deuxième album « Fourth Wall ». Miam, miam, miam ! On peut lui rajoute l’avant-denière piste « Implosions » ou encore la piste finale « Debris ».
Si on aime les pistes tout en douceur, légères, rêveuses, alors il faut foncer sur « Lost in Distant Shimmers » qui colle à cette description. Dans ce domaine, je rajouterai « The Glassblower Pt. I + II » et « Silhouettes ».
Pour conclure ? Ysma a réussi un excellent troisième album. On y retrouve tous les ingrédients des précédents opus. Si vous avez aimé « Fourth Wall », cet album sera pour vous une excellente surprise. En tout cas, je ne peux dire qu’une chose : merci Ysma pour cet excellent album !