Ayant vu que la Fedora 15 alpha est disponible, j’en ai profité pour récupérer l’iso en 64 bits, et je l’ai copié sur une clé USB, en suivant les informations proposées sur le wiki de Fedora.
Après un démarrage très rapide – et en ayant l’agréable surprise de voir que le pilote NouVeau permet d’utiliser l’accélération minimale nécessaire pour utiliser directement Gnome-Shell.
L’interface de base est très dépouillée. En cliquant sur « Live User », j’ai accès à la plus grande partie des fonctions : gérer sa présence sur les réseaux comme twitter et identi.ca, lancer l’outil de gestion des outils systèmes, le verrouillage / déverrouillage d’écran, et bien entendu l’extinction de la machine.
Si on clique sur « Activities », on peut avoir accès à l’ensemble des logiciels disponibles et par catégories.
Une barre sur la gauche fait penser au dock sur MacOS-X. On peut y mettre les applications lancées régulièrement.
Quand on lance une application non listé dans la barre de gauche, on a l’option, en cliquant droit sur l’icone de l’ajouter aux favoris.
Si on clique sur la date et l’heure, l’agenda se lance. On peut voir en arrière plan que les applications lancées sont réduites sous formes de miniatures. Un bouton en haut à droite permet de les fermer en un instant.
On recherche un document ou un logiciel ? En cliquant sur « Activities », on peut accéder à une barre de recherche dynamique.
La gestion des outils systèmes est centralisée. Il suffit de cliquer sur une icône pour obtenir l’outil correspondant. Très simple et rapide d’accès.
Enfin, une capture d’écran pour montrer que c’est bien ma machine réelle, et non une quelconque virtualisation.
Pour conclure ce court article, je dois avouer que je suis très agréablement surpris par cette ergonomie qui change complètement des bonnes vieilles interfaces classiques. Et elle est loin d’aussi d’être anti-ergonomique que je le craignais à une époque:)