En vrac’ dominical.

Comme chaque fin de semaine, quelques liens en vrac’. Pour commencer, on va parler de la peste bubonique publicité.

Passons maintenant au logiciel libre :

  • Dans la série, « tiens ça existe encore ? », je demande MidnightBSD 0.7, un fork de FreeBSD 6.1. Plus d’infos sur les notes de publications.
  • Dans la série, « une distribution GNU/Linux, ça fait bien sur mon CV », je demande la DarkibanOS, basée sur la Debian GNU/Linux Jessie. Dans 6 mois, elle est morte ?
  • Vous voulez une distribution réellement légère et utile ? La Semplice Linux 2015.2 collera à votre cahier des charges. C’est une base Debian GNU/linux, avec un noyau linux 4.1.7 et une interface légère basée sur Openbox. Que du bonheur !
  • La nouvelle version de la AryaLinux, une distribution basée sur la LFS est disponible depuis le 13 septembre 2015. Si vous aimez compiler, c’est votre distribution de choix 🙂

Pour finir un peu de culture.

C’est tout pour ce dimanche. Bonne continuation !

Total Recall version 2012, une sombre daube, désolé pour l’excellent plat de cuisine.

Si on me dit Total Recall, je répondrais : 1990, Paul Verhoeven, Arnold Schwarzenegger, Sharon Stone, une histoire bien ficélée qui tient en haleine, et qui se déroule sur la Terre et sur Mars, et surtout une action rondement menée, justifiée.

Total Recall 2012

J’ai voulu jeter un oeil sur la version 2012 du film, et mal m’en a pris. On se retrouve uniquement sur la planète tTrre, avec une histoire de tunnel qui traverse la planète de part en part, avec des décors d’une Union Fédérale Britannique qui sont la copie conforme ou presque de l’ambiance glauque du chef d’oeuvre de Ridley Scott, Blade Runner, et dont il copie de nombreux points : ne serait-ce que la scène du piano.

La nullité du scénario est mal caché par des effets spéciaux à foison. L’ennui est palpable dès les premières minutes. Une torture pour l’intérêt qu’on devrait porter à un film.

Le film est tellement mauvais que j’ai laissé tomber au bout de 30 minutes. Si vous voulez vous économiser à la fois une déception et quelques précieuses piécettes, laisser tomber cette version qui n’arrive même pas à l’orteil de la version originale.

Et une note pour les scénaristes en mal d’histoire : pitié, ne nous faites plus de remake, creusez vous la cervelle au lieu de massacrer des films en voulant les refaire !