En mars 2010, j’annonçais que je revenais aux supports physiques pour la musique. Deux ans sont passés, et ce que je disais au milieu de l’article est encore plus vrai de nos jours :
Même si j’ai moi même voué aux gémonies à une certaine époque ce bon vieux CD, j’avoue que j’y reviens, car c’est malgré tout un format ouvert.
Quand j’achète un CD qui correspond aux normes définies par le Red Book et non les pseudo CD dits « Copy Controlled » – je peux l’encoder dans le format que je veux : flac (non destructif), mp3, wav, ogg, ou au pire en wma.
Evidemment, cela demande de la place, car il faut stocker les galettes.
J’ai maintenant près de 400 disques soit 380 albums et des bananes (en comptant les albums double ou triple). Ca prend de la place. Ca pollue, c’est encombrant. Soit, mais au moins, je peux les écouter quand je veux, sans avoir besoin d’allumer mon ordinateur avec une connexion à l’internet. Un simple lecteur de CD suffit. 🙂