Petit amuse gueule auto-édité : « Allez sans rancune – Partie 1 »

Comme demain – au moment où j’écris ce court billet – j’aurai publié en accès libre mon roman d’uchronie, j’en ai profité pour boucler le premier quart de mes chroniques humoristiques et un brin misanthropique.

Ne vous attendez pas à du « méchant fred » comme quand je parle des distributions GNU/Linux finie à l’urine frelatée.

Non, c’est du plus doux qui n’oublie pas de taper là où ça fait mal. Vous pouvez y accéder et téléchargement librement le texte à cette adresse : http://www.atramenta.net/lire/allez-sans-rancune–partie-1/56710

Sur ce, bonne lecture !

Point d’étape à trois jours de la publication de mon prochain roman.

Comme je l’avais annoncé dans un billet en vrac’ de la fin mars 2016, je vais publier – ou j’aurais publié – le lundi 11 avril 2016 mon dernier gros écrit en date, un roman d’uchronie qui fait 168 pages au format brouillon.

Contrairement à mes autres oeuvres « longues », celle-ci sera en libre téléchargement. Je m’en expliquerai plus longuement dans l’article concernant la publication sur Atramenta sur les raisons qui m’ont poussé à agir ainsi.

Je voulais juste revenir sur la génèse de l’oeuvre qui ne sera jamais inscrite au panthéon des romans d’uchronie. En février 2015, aux alentours de mon 41ième anniversaire, j’ai une phrase qui me vient en tête, et un sujet qui finit par se matérialiser. J’ai envie de rédiger une uchronie. Loin de chefs d’oeuvre comme « Le maître du Haut-Chateau » de Philip K. Dick ou encore « Roma æterna » de Robert Silverberg.

C’était un défi que j’avais envie de relever. J’ouvre alors mon exemplaire de LibreOffice, et je commence à taper les premières phrases (qui n’ont que peu évoluées dans la version finale) de mon texte uchronique. Pour conserver un minimum de volonté d’aller jusqu’au bout de la rédaction, je rédige l’épilogue de ce qui devait être une nouvelle d’une quarantaine ou d’une cinquantaine de pages.

Puis des événements personnels m’ont obligé à mettre au ralenti le projet. Ce que je voulais boucler en un à deux mois, à savoir une nouvelle d’une cinquantaine de pages, se transforme en une création plus longue, étant donné que je ne voulais pas laisser en plan les personnages auxquels je venais de donner vie. Finalement, au mois de septembre, j’arrive à la fin de la première version du texte. Je demande alors à Didier « IceMan » de me donner ses premières impressions. En me basant sur ses remarques et sur celle d’Isabelle Rozenn-Mari, je m’attelle à une relecture qui fait disparaitre l’équivalent de 3 pages.

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Un peu d’auto-promotion :)

Une fois n’est pas coutume, je fais un peu d’auto-promotion sur deux projets scripturaux en publication libre en cours de rédaction.

Comme vous le savez, j’ai le cul entre deux chaises, comme je l’ai expliqué dans un billet récent. Je suis blogueur (depuis plus de 10 ans) et écrivaillon auteur auto-édité via Atramenta.

J’ai toujours un ou deux projets scripturaux en route, et pour le moment, c’est deux, que j’essaye de faire avancer aussi rapidement que possible. Ce qui est tout sauf évident.

J’ai donc déposé en format « brouillon » deux textes, un typé fantastique, l’autre un peu plus humoristique et cynique. Le premier est arrivé à peu près à la moitié, le second, à un gros tiers.

J’ai aussi un projet plus long et plus sérieux qui attend que certaines emmerdes décident de me foutre la paix.

Donc, si vous voulez voir comment un écrivaillon auteur auto-édité créé un texte et que vous vouliez me faire des remarques, ce serait très gentil de votre part 🙂

Il n’y a qu’un blogueur que je spamme, c’est moi-même 🙂

Merci pour toutes les remarques que vous aurez la gentillesse de me faire parvenir !

Un petit délire scriptural :)

Dans le but de me remettre en jambes sur le plan de l’écriture non bloguesque, j’ai rédigé une petite nouvelle d’une vingtaine de pages alors que je travaille de temps en temps sur mon prochain récit « commercial ». Dont la sortie est pour le moment prévue pour février 2016.

Le langage est assez fleuri, c’est pour cela que j’ai choisi de mettre un « pour public averti » comme catégorie sur Atramenta.

Voici donc l’accroche :

La semaine d’un petit cadre quadragénaire au chômage

À quoi peut bien ressemble la semaine d’un petit cadre, âgé d’une petite quarantaine d’années et au chômage ?

Ce petit récit qui ne manque pas d’un humour assez grinçant est une volonté de répondre à cette question.

Le tout est disponible sur Atramenta au format epub, pdf et mobi sans DRMs.

Ce n’est pas le chef d’oeuvre du siècle, mais ça fait du bien de pouvoir partager des délires scripturaux 🙂

Sans ce titre ultra-connu de Renaud, rien n’aurait été possible.

Critique de livre : « N.A.T.I.V » de Maurice Desborels

J’avais parlé du roman « N.A.T.I.V » de Maurice Desborels dans un en vrac’ rapide du 12 juillet 2015. Après avoir attendu une petite dizaine de jours son impression, son envoi et sa réception, je m’y suis attaqué ce week-end.

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Ce court roman – environ 120 pages – est à classer dans le genre anticipation, voire science fiction, mais sans le moindre artifice classique des romans de SF. L’histoire se situe dans les années 2050, et se base sur le duo de concepts que sont la néotinie et l’octogenèse.

Le postulat du livre est de savoir comment vivrait des personnes dont le développement intra-utérin ne serait pas de 9 mois, mais s’allongerait à 21 mois. En clair, comment vivraient des personnes N.A.T.I.V (nées à terme in vitro) ?

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