En vrac de fin de semaine.

Un petit en vrac’ pour finir la semaine. Qui reprend le duo logiciel libre et culture. Commençons par le panier de crabes informatique.

Côté culturel ?

Commençons par le coup de gueule d’Agnès sur le monde de l’auto-édition et des auteur(e)s qui se croyent tout permis et qui se la joue copinage à fond… Plus dure sera la chute !

Et pour finir en musique ?

Voila, c’est tout et c’est déjà pas mal !

Vieux geek, épisode 50… non 51 : Ken’s Labyrinth, le lointain ancêtre de… Duke Nukem 3D.

Note : c’est le billet 51 de la série vieux geek, non le 49ième. Je m’étais trompé lourdement dans la numérotation ! Oups 🙂

En 1996, 3D Realms sort un jeu resté dans les mémoires pour son côté technique mais aussi pour son humour caustique, les clins d’oeil à la pelle pour des évènements (comme l’affaire OJ Simpson), des films (Star Wars, Indiana Jones), ou encore des jeux vidéos dont le vénérable ancêtre Doom.

Derrière tous les effets spéciaux en question qui donne une claque au genre FPS en cette année 1996 – 20 ans déjà, ouille ! – il y a un moteur de rendu qui s’appelle le Build Engine.

C’est l’oeuvre du programmeur de génie Ken Silverman qui n’en est pas à son coup d’essai. En effet, en 1993, Epic MegaGames publie la version ultime d’un titre assez bizarre pour sa charte graphique, Ken’s Labyrinth.

Ken Silverman, 18 ans (il est né en 1975), avait vu son frère s’éclater sur Wolfenstein 3D. Il a alors décidé de développer son propre Wolfenstein 3D, avec quelques améliorations. Même si les graphismes sont moins avancés que ceux de l’équipe d’id Software, il y a des parties un peu plus interactives comme les bonus qui se transforment, les machines à sous et les distributeurs d’objets. Les ennemis sont assez vaches par moment.

Il y aussi des portes battantes, inexistantes dans Wolfenstein 3D. Ou encore des murs destructibles. Évidemment, on est loin de ce que sera Duke Nukem 3D en 1996.

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The Fourth Is Bearded : à la découverte du post-hardcore.

J’ai des goûts musicaux assez étendus : j’aime bien écouter de tout, sauf la production commerciale qui me sort par les yeux. Que ce soit du heavy metal, du jazz, de la folk, de la musique électronique ou encore du néoclassique (comme avec Aythis) tant que j’accroche, j’écoute. Mais les productions ultra-formatées et sur-entendues, non merci. En clair, 95% des albums qu’on trouve dans les rayonnages des magasins, culturel ou pas.

Comme pour les oeuvres de Red Forest dont j’ai parlé le 6 janvier 2016, le blogueur influent que je semble être – les personnes au fond de la salle qui viennent de rire, merci de sortir ! – a été contacté par un membre du groupe « The Fourth Is Bearded », un groupe du Havre qui est spécialisé dans le mélange post-rock et post-hardcore.

J’avoue qu’avant d’écouter l’album je ne connaissais pas du tout le post-hardcore. J’ai donc été sur la page Bandcamp du groupe et j’ai lancé la lecture.

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En vrac’ musical du mercredi.

Premier en vrac’ musical pour 2016. Il sera assez court, n’ayant pas eu l’occasion d’écouter trop de musique ces derniers temps.

Bonne journée !

La Manjaro Linux 15.12 avec i3, une autre raison de vouloir ignorer les versions communautaires de la fille d’Archlinux ?

Je ne suis pas un grand amateur des versions communautaires de la Manjaro Linux qui sont souvent des horreurs surchargées avec des goûts de toilettes publiques plus que prononcés. Il y a quelques rares exceptions, mais j’avoue qu’en dehors de la version avec OpenRC, je ne vois pas.

Dans un commentaire sur la atrocity Apricity OS, Steph m’a fait la demande de présenter la Manjaro Linux avec i3.

J’ai donc été sur la page officielle de la Manjaro Linux à la recherche de la version avec le tiling window manager i3. Un tiling window manager, ou gestionnaire de fenêtre à base de pavé permet de gérer les différentes fenêtres en les redimensionnant dynamiquement à un endroit précis. Bref, l’opposé des autres gestionnaires de fenêtres qui laisse les fenêtres se balader sur l’écran. Donc un gestionnaire des plus légers dans sa conception et qui a ses adeptes.

Je suis donc tombé sur l’annonce sur le site officiel qui détaille les logiciels, avec quelques-uns pour compléter l’ergonomie d’i3 et l’étrange fork de Mozilla Firefox du nom de Palemoon (qui ne m’inspire pas confiance dans sa sécurisation et dans son support des technologies HTML5 et CSS3) ainsi que l’existence de deux versions, une avec systemd et l’autre avec OpenRC. Étant plus à l’aise avec systemd, c’est donc la version que j’ai récupéré via wget pour l’article que vous lisez.

[fred@fredo-arch ISO à tester]$ wget -c http://vorboss.dl.sourceforge.net/project/manjarolinux/community/i3/2015.12/systemd/manjaro-i3-15.12-x86_64.iso
–2016-01-11 21:35:37– http://vorboss.dl.sourceforge.net/project/manjarolinux/community/i3/2015.12/systemd/manjaro-i3-15.12-x86_64.iso
Résolution de vorboss.dl.sourceforge.net (vorboss.dl.sourceforge.net)… 5.10.152.194
Connexion à vorboss.dl.sourceforge.net (vorboss.dl.sourceforge.net)|5.10.152.194|:80… connecté.
requête HTTP transmise, en attente de la réponse… 200 OK
Taille : 1221148672 (1,1G) [application/octet-stream]
Sauvegarde en : « manjaro-i3-15.12-x86_64.iso »

manjaro-i3-15.12-x8 100%[=====================>] 1,14G 2,97MB/s ds 8m 0s

2016-01-11 21:43:37 (2,43 MB/s) — « manjaro-i3-15.12-x86_64.iso » sauvegardé [1221148672/1221148672]

J’ai ensuite créé une machine virtuelle dans VirtualBox pour voir ce que cette version communautaire a dans le ventre.

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