Diaspora*, c’est pas la joie.

Mercredi dernier, j’ai cloturé mon compte diaspora*. Je l’avais ouvert avec enthousiasme et curiosité il y a plusieurs mois, en décembre 2011.

Et déjà au mois de mars, j’exprimais des doutes prononcés sur la viabilité à terme du réseau social.

Donc, mercredi dernier, j’ai sauté le pas. Et j’ai dit adieu à mon compte diaspora* que je n’avais plus utilisé depuis un certain temps.

Comme je le précisais en mars dernier :

De plus, il n’apporte vraiment rien de plus par rapport à un Facebook ou un GooglePlus. Il manque cruellement de notoriété et cela étant un cercle vicieux, on trouve toujours les mêmes personnes avec les mêmes messages.

Sans oublier les manques énormes de l’interface : pas d’édition simple pour mettre du texte en gras, en italique, en souligné. L’insertion d’images et de vidéos qui fonctionnaient une fois sur deux, la perte de contrôle sur les images mises en ligne sur le réseau, alors que le contrôle des données par l’utilisateur se veut complet, tout cela joue en la défaveur d’un réseau qui aurait pu être une alternative à Facebook et GooglePlus.

D’ailleurs, une question : pourquoi cette utilisation de chatons pour forcer l’utilisateur à rester ?