Deux semaines de pause sur Twitter, quel bilan ?

Je suis en train de mener une expérience. Le 26 septembre 2024, j’annonçais sur Twitter à mon petit millier d’abonnés que je mettais en pause mon activité jusqu’à fin octobre. Quel bilan au bout de deux semaines environ ?

Déjà j’ai gagné en terme de tranquillité d’esprit. Ne plus avoir à gérer des problèmes sur mon fil, ne plus devoir bloquer à tout va, cela fait vraiment plaisir. Ma tension y a gagné, et je suis moins tendu. Bon, j’ai dû avoir une demi-douzaine de nouveaux abonnés sur mon compte mastodon, ce qui me fait frôler les 500 abonnés. Bon, il m’en reste 15 à récolter pour franchir la barre symbolique des 500, le plus gros est fait.

Oui, il y a moins de fréquentation, mais aussi moins de « dramas », de comptes à bloquer à vue pour des dissensions plus ou moins importantes. En gros, c’est un réseau social minuscule, mais ça fait vraiment du bien quand on vient de l’oiseau bleu.

Il me reste encore deux semaines avant de revenir sur l’oiseau bleu… À moins que je ne cloture mon compte là bas pour ne plus avoir de pics de tension artérielle au détour d’un tweet… Seul l’avenir me le dira 🙂

8 réflexions sur « Deux semaines de pause sur Twitter, quel bilan ? »

  1. Cela fait environ 6 mois que j’ai définitivement claqué la porte de ce réseau social. Avant cela j’avais des périodes d’activité et de non activité mais il y avait toujours un petit « je ne sais quoi » qui me faisait revenir. Cela n’a pas été simple au début mais on en ressort en bien meilleure santé, mais pourquoi?

    L’hyper-stimulation de ces réseaux est nocive. On baigne dans une actualité frénétique, même si on se jure de ne pas le faire et simplement utiliser le réseau pour pousser des infos ou avis. Notre attention est captivée, notre réserve d’énergie pompée, tout ça pour pas grand chose. On ne retire que très peu de choses intéressantes au milieu de tout cet amas de haine et de désinformation. Notez que j’ai appliqué ce raisonnement pour tous les sites d’actualités (ou news) pour y préférer des traitements plus occasionnels. Au début on ne lit qu’un récapitulatif quotidien, puis hebdomadaire et on se sent bien plus soulagé, et l’information est de bien meilleure qualité. Il ne faut pas sous estimer la charge mentale que cela représente.

    La seconde chose qui m’a poussé à fuir est l’entreprise en elle même. Rachetée par une personne peu recommandable, vidée de ses salariés, vidée de toute la partie modération, ça ne sent vraiment pas bon !

    Préférer des alternatives moins peuplées avec des communautés plus ciblée peut être une meilleure solution pour toi, en effet.

    1. Je suis d’accord avec ton commentaire. X stimule des tweets réflexes, courts et peu argumetés, ou non argumentés. Egalement sur la charge mentale. Personnellement j’y suis resté 3 jours…
      A une époque j’étais sur le réseau diaspora, radicalement différent (fond, comportement gentlemen) mais pas assez de monde. Pas essayé Mastodon. Je reste attaché aux forumes et blogs pour Linux ou l’informatique en général, avec plus d’attention soutenue et de comportement « gentlemen » dans les réponses. Et quoi qu’il arrive des arguments.

      Si Twitter occasionne trop de charge mentale il faut sans doute arrêter. Ou mesurer les bénéfices / pertes. Est-il possible de relayer des vidéos sans avoir des commentaires « à la ramasse » ?

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