Après l’article consacré à l’album « Aurora » d’Abby Gundersen, un autre album de musique dite néo-classique est sorti le 3 septembre 2015. Y a des périodes comme ça 🙂
Le deuxième album de Mathew Roth nous plonge dans un peu plus de 27 minutes de détente. C’est aussi la deuxième fois que je parle de Mathew Roth. La première fois, c’était en novembre 2014.
Dans ce court album, d’un peu plus de 27 minutes, Mathew Roth nous montre encore l’étendue de son talent. Non seulement, il arrive à méler des instruments comme le piano mais aussi des bruits de la vie quotidienne, comme de la nature.
Dès la première piste, ce mélange se fait à la perfection. On pourrait penser que le piano se limite à des rythmes classique et lent. La première piste vous apporte la preuve du contraire.
La deuxième piste plonge l’auditeur dans une piste néoclassique au piano tout ce qu’il y a de plus classique. On passe de pistes rapides comme « Settle » à des plus calmes « Step » sans que la transition soit choquante.
Le seul point faible de cet album ? N’être joué qu’au piano, au contraire du premier album qui apportait aussi des sons d’instruments à cordes. Le talent de Mathew Roth évite la lassitude liée à l’utilisation d’un seul instrument.
Simple question : à quand la suite ?