Il y a une variante du métal que j’aime beaucoup, c’est la variante dite symphonique. Avec la tendance progressive et le classique Heavy métal, c’est un genre de musique que j’apprécie. Il est habituel de dire que la Scandinavie au sens géographique large du terme, en rajoutant à la Norvège et à la Suède, la Finlande et le Danemark, le groupe Akoma en apporte la preuve.
Alors que je fouillais la catégorie métal symphonique pour me caresser les oreilles, je suis tombé sur le premier album du groupe Akoma, sortie en mars 2012. Je sais, cela fait presque 3 ans, au moment où je rédige ce billet, mais les découvertes tardives sont parfois très intéressantes.
Ici, nous avons un métal symphonique assez classique, qui propose un chant clair féminin. Aucun chant guttural n’est présent.
Les titres sont assez courtes, on a droit à des pistes qui rentrent directement dans le sujet. On est loin des pistes de 10 à 12 minutes d’un rock ou d’un métal progressif. L’album dure 27 minutes pour 6 pistes.
La première piste et la plus longue de toutes introduit l’album. La voix de Tanya Bell est porté par des compositions métal symphonique classiques, bien qu’une inspiration médiévale se fasse sentir dès le début de l’album.
Les autres pistes se suivent et sont très agréables à l’écoute. Bien entendu, on reste dans les compositions classiques du genre. Mais il faut dire que la voix de la chanteuse fait encore plus apprécier le classissisme des mélodies.
La troisième piste « My Love » est le titre le plus doux de l’album, avec son introduction au clavier. On pense presque à un solo dans un opéra, avec la cantatrice au premier plan. La fin du titre est plus explosif après cette lente montée en puissance.
Après un « Without You » qui relançait la machine, arrive la ballade de l’album « Gardian Angel (Keep Me Safe) ». C’est une deuxième piste qui est plus acoustique que la première en terme de sonorité. C’est agréable d’avoir deux titres bien doux pour accompagner les titres un peu plus énervés.
L’album se finit avec « Immortal Love » qui est très puissant dès le départ. Il conclue en beauté cet album qui respecte les règles du métal symphonique, sans tomber dans la facilité de rajouter du chant guttural en complément du chant clair féminin.
Un très bon album de métal symphonique, encore en provenance de la Scandinavie. Encore une fois, devrait-on dire.
Bonjour monsieur Frédéric Bezies ;
Je viens du blog de la vache libre , Noireaude m’a dit que vous étiez un expert des distributions linux et que vous les aviez presque toutes testé !
J’ai découvert il y’a quelques jour la distro Deepin Linux sur les news de distrowatch , elle a été mise a jours récemment ; je me suis alors mis a chercher ce qu’il y’a de particulier dans cette distro qui arrive tout de même avant l’excellent Manjaro sur le top distrowatch.
Et la j’ai découvert qu’elle avait un environnement graphique propre à elle qui tournait en HTML5 ! ainsi que bien d’autres particularités que je n’ai jamais retrouvé autre part !
Avant de l’installer je voulais donc l’avis d’un expert comme vous , qu’en pensez vous de cette distro ? de ces particularités ? …etc
Merci 🙂
Expert ? Curieux. Presque toutes ? Oui, on peut dire cela ainsi.
La Deepin, celle d’origine chinoise si je ne me trompe pas ?
Ce qui doit demander pas mal de puissance, enfin, c’est une possibilité à envisager.
J’avoue que je ne m’y suis pas plongé. Mais si une version testable sans installation existe, faites-vous votre propre opinion, car je n’en ai aucun sur cette distribution.