Astolat, groupe de métal suédois nous propose en cette fin d’août 2014 un nouvel EP, « Aokigahara ». Après un excellent premier album, « The Faceless Mask » sorti en janvier 2013, voici donc le nouvel opus du groupe suédois.
Le titre éponyme commence par une intro acoustique, et les rythmiques métal avec du chant clair nous accueille rapidement, une piste assez entrainante.
La deuxième piste est un peu plus sombre, un peu « Black Sabbath » dans l’esprit, avec un introduction lourde, pesante. Le texte est parlé pour la plus grosse partie de la piste, et devient progressivement du chant.
La troisième piste est une ballade typiquement metal, avec de bonne grosses guitares, une batterie qui bat la cadence. C’est la piste que j’aime le moins de l’album.
Avec « Rex Nemorensis », on retrouve la sublime voix de Lisa Gustavsson pour son unique participation. La piste est l’une des plus longues de l’album, et aussi la plus « puissante » de toute. On trouve ici une piste typiquement progressive, même si l’album est plus direct que le premier du groupe.
L’avant dernière piste « Sulfur Child » est encore un titre que n’aurait pas renier les grands noms du metal des années 1970-1980. Un titre assez puissant, majestueux.
L’ultime piste est basée sur un chanson traditionnelle d’une ile de la mer baltique du nom de Åland. La piste est en grande partie acoustique, et contraste avec le reste de l’album, même si elle finit avec un bonne rythmique metal. J’avoue que d’entendre du suédois chanté est assez agréable 🙂
Cet album est plus sombre que le premier opus du groupe, mais reste largement écoutable, loin des groupes commerciaux et de leur production musicale qui ferait honte à un musicien débutant.
C’est pas vraiment ma tasse de thé, mais une fois de temps à autre cela change.
A pluche.
Nia nia nia répondit l’écho ! 😉
Original avec ce son, les chants surtout le masculin, ce qui est rare.
A écouter et à ré-écouter pour bien imprégner de l’atmosphère de l’album.
Merci pour l’info !