Big Bang Factory : une explosion musicale.

Il y a plusieurs mois, j’ai découvert les travaux de Julien Davila, alias Big Bang Factory. Le 21 février dernier, son premier album « D​.​I​.​Y. # 01 // Almost Live From Home« .

Coup de coeur, j’ai pris un des 99 exemplaires de la version deluxe contenant le CD 8 titres avec 4 titres bonus par rapport à la version numérique, le médiator, le certificat d’authencité. Et pour info, j’ai eu le certificat 61 sur 99… Alors que j’ai commandé l’album 15 jours après la sortie de l’album… Succès foudroyant ?

Version Deluxe du premier album de Big Bang Factory

Dès la première piste, on sent que c’est festif : « Broken Lines » plonge l’auditeur dans un univers qui fait un peu penser au rock des années 1982-1984.

Un morceau plus « rap » (au sens noble du terme) suit. Avec une influence qui fait penser un peu à la rythmique « Sewing the seeds of Love » de Tears For Fears au niveau du refrain.

La troisième piste est un peu plus électro-rock. Mais se marie bien avec les précédents titres.

La quatrième piste nous la joue plus acoustique. Avec une ballade du nom de « Another Call ». La cinquième piste prend un virage plus rock.

« Depth of Truth » commence avec des bruits marins, et on se prend presque à sentir les embrunts sur le visage. Nouvelle balade en version rock acoustique.

« In the yard » prend un rythme plus saccadé pour étonner l’auditeur qui est décidément toujours agréablement surpris par l’album.

« Transmission », dernière piste officielle, est assez rock comme celui qu’on avait à la fin des années 1980.

Par respect pour les personnes qui n’auront pas de version deluxe (et donc pas les pistes bonus complémentaires), je n’en parlera pas pour éviter de retourner le couteau dans la plaie.

Pour finir cet article, je dirais deux choses :

  1. A quand le deuxième opus ?
  2. C’est dur d’apprendre à jouer de la guitare ? Maintenant que j’ai un médiator pour les cordes 🙂