Casser du monstre, parfois ça soulage… Et c’est mieux quand c’est avec du logiciel libre ;)

Il arrive parfois qu’on soit légèrement en colère, et que l’on ai envie de se défouler. Quoi de mieux – et de soulageant pour les nerfs – que de casser du monstre sur un jeu vidéo ?

Si vous êtes linuxien – en dehors d’utiliser un système solide – les jeux vidéos sont souvent peu nombreux pour passer votre colère. Et j’avoue que les derniers FPS sont soit indisponible sous linux, soit pas libre. Dommage 🙁

La solution ? Le duo Zdoom + FreeDoom.

Si vous utilisez Ubuntu, OpenSuSE (ou une autre distribution à base de RPMs ?) ou encore gentoo, l’installation de Zdoom vous est expliqué sur cette page de Wiki de Zdoom.

Si vous utilisez une Frugalware Linux, faudra voir avec Devil505 s’il veut bien s’en occuper 🙂

Si vous utilisez une Archlinux, il suffit de faire un petit :


yaourt -S zdoom

Pour les wads, vous pouvez soit utiliser les wads stables (en les récupérant sur le site officiel de FreeDoom), soit passer par la version de développement.

Pour Archlinux, il existe le paquet fredoom-git si on veut les dernières versions en date.

Une fois le tout installé, il suffit de lancer ZDoom, et de choisir la wad à lancer. Par défaut, la wad FreeDoom.wad prend la place de celle de Doom2.

J’avoue apprécier Zdoom, car il offre une console. Les graphismes sont moins « soignés » que ceux du Doom d’origine. Mais néanmoins, cela permet de se faire quelque petites frayeurs.

Et pour les vieux de la vieille, à la map30 de la wad FreeDoom.wad, au lieu de la tête de John Romero qui vous accueille comme boss de fin, c’est la tête d’un certain Richard Matthew Stallman…

Bon cassage de monstres 😉