Profitant d’un bon d’achat sur Amazon, j’ai acheté deux albums des années 1970. Deux albums « mythiques » pour les personnes qui s’intéressent à la musique anglaise de cette période.
J’ai cité : Fireball – édition « 25ième anniversaire » de Deep Purple et « Long Live Rock’n’Roll » de Rainbow.
1971. Deep Purple sort « Fireball », deuxième opus de la meilleure période du groupe, avec le déjà très bon « In Rock ».
Dedans, on trouve des titres assez puissant : Fireball, Demon’s Eye, The Mule. Dans les pistes bonus, on retrouve aussi Strange Kind Of Woman, ou encore le très étrange « The Noise Abatement Society Tapes » qui montent que les membres du groupe ont une solide formation en musique classique.
C’est du hard rock de la grande époque de ses balbutiements. Et on sent que le groupe prend plaisir à définir les canons du hard rock et que le commercial est encore loin d’avoir siphonner l’inventivité des musiciens.
Le deuxième album est le quatrième opus du groupe fondé par l’ex-Deep Purple Ritchie Blackmore.
Après un départ en fanfare avec le titre éponyme, on a droit à des titres qui mélangent les bases du hard rock avec des textes assez développé. J’avoue que j’ai des coups de coeur pour le très complexe et puissant « Gates of Babylon » ou encore pour un « Kill The King » porté par la voix puissante de Ronnie James Dio.
Ce qui est bien avec cet album de 1978, c’est que celui se termine par la superbe ballade « Rainbow Eyes ».
C’est un de mes albums préférés de Rainbow, pour le mélange douceur et puissance.